Le Diadumène Marbre, 50 ap. J.-C.
avec ses témoins, comme le temple antique dédié à Mercure, le musée gallo-romain, le taureau tricorne etc. Un heureux mariage de pierre, de bronze et de marbre : Londres dans l’antique capitale du Valais romain : Forum Claudii Vallensium.
Pour célébrer la beauté du corps, dix thèmes seront à l’honneur et entraîneront le visiteur dans une balade éclectique où la beauté des corps féminins et masculins, le sport, la naissance, le mariage et la mort, l’amour et le désir, seront documentés par des pièces archéologiques.
Le British Museum de Londres fondé en 1753 s’ouvre au public en 1759 et ses collections, constituées de plus de sept millions d’objets, sont parmi les plus importantes au monde et proviennent de tous les continents. Parmi toutes ces richesses, vingt-quatre salles représentent Rome et la Grèce antiques : il s’agit de la section la plus importante du musée qui propose des oeuvres s’étendant du début de la préhistoire à l’ère byzantine.
Le British Museum a proposé à la Fondation Pierre Gianadda d’organiser une exposition avec quelques unes des pièces maîtresses choisies parmi ces antiquités grecques et romaines.
La Beauté du corps dans la Grèce antique entend tout à la fois séduire et donner à penser – explorer la condition humaine par le regard que posaient sur elle les Grecs de l’Antiquité. Attentive aux modes de représentation, l’exposition invite ses visiteurs à s’interroger sur des oeuvres qui ont façonné les regards que nous portons sur nous-mêmes et l’idée que nous avons de nos personnes.
Au cours de deux millénaires, les artistes grecs se sont attachés à représenter le corps humain dans un éventail de formes qui vont de l’abstraction dépouillée au réalisme le plus complet. Les Grecs de l’Antiquité avaient mis la personne humaine au centre de leur univers. Dans la philosophie, le théâtre, la poésie, l’art et l’architecture, ils ont en grande partie donné forme à l’idée que le monde occidental se fait aujourd’hui de l’être humain. Leurs dieux mêmes étaient conçus comme des humains plus grands que nature, qui hors leur immortalité, partageaient nos forces et nos faiblesses.
Comme l’a dit le philosophe Protagoras, au Ve siècle avant notre ère, « l’homme est la mesure de toute chose ». En ce temps-là, la société grecque était intensément masculine.
Les grands thèmes :
Aphrodite et le corps féminin
Le beau dans le corps masculin
Le corps divin
Amour et désir
Clin d’oeil à Martigny-la-Romaine
Pour célébrer la beauté du corps, dix thèmes seront à l’honneur et entraîneront le visiteur dans une balade éclectique où la beauté des corps féminins et masculins, le sport, la naissance, le mariage et la mort, l’amour et le désir, seront documentés par des pièces archéologiques.
Le British Museum de Londres fondé en 1753 s’ouvre au public en 1759 et ses collections, constituées de plus de sept millions d’objets, sont parmi les plus importantes au monde et proviennent de tous les continents. Parmi toutes ces richesses, vingt-quatre salles représentent Rome et la Grèce antiques : il s’agit de la section la plus importante du musée qui propose des oeuvres s’étendant du début de la préhistoire à l’ère byzantine.
Le British Museum a proposé à la Fondation Pierre Gianadda d’organiser une exposition avec quelques unes des pièces maîtresses choisies parmi ces antiquités grecques et romaines.
La Beauté du corps dans la Grèce antique entend tout à la fois séduire et donner à penser – explorer la condition humaine par le regard que posaient sur elle les Grecs de l’Antiquité. Attentive aux modes de représentation, l’exposition invite ses visiteurs à s’interroger sur des oeuvres qui ont façonné les regards que nous portons sur nous-mêmes et l’idée que nous avons de nos personnes.
Au cours de deux millénaires, les artistes grecs se sont attachés à représenter le corps humain dans un éventail de formes qui vont de l’abstraction dépouillée au réalisme le plus complet. Les Grecs de l’Antiquité avaient mis la personne humaine au centre de leur univers. Dans la philosophie, le théâtre, la poésie, l’art et l’architecture, ils ont en grande partie donné forme à l’idée que le monde occidental se fait aujourd’hui de l’être humain. Leurs dieux mêmes étaient conçus comme des humains plus grands que nature, qui hors leur immortalité, partageaient nos forces et nos faiblesses.
Comme l’a dit le philosophe Protagoras, au Ve siècle avant notre ère, « l’homme est la mesure de toute chose ». En ce temps-là, la société grecque était intensément masculine.
Les grands thèmes :
Aphrodite et le corps féminin
Le beau dans le corps masculin
Le corps divin
Amour et désir
Clin d’oeil à Martigny-la-Romaine
Informations pratiques
L'exposition La beauté du corps dans l’Antiquité grecque, la Collection Franck, le Parc de sculptures, le Musée gallo-romain et le Musée de l'automobile sont ouverts tous les jours de 10 h à 18 h du 21 février au 9 juin 2014
Fondation Pierre Gianadda
Rue du Forum 59, 1920 Martigny, Suisse
Tel : + 41 27 722 39 78
Site : www.gianadda.ch
Fondation Pierre Gianadda
Rue du Forum 59, 1920 Martigny, Suisse
Tel : + 41 27 722 39 78
Site : www.gianadda.ch