Salvador Dali, Machine à coudre aux parapluies, 1951, gouache et encre sur papier, 25 x 32 cm
Chez Dalí oeuvre et vie sont intrinsèquement, liés, au point que son existence est une stylisation qui prolonge et intensifie tout ce qui, est en germe dans sa création. Son champ d’expérimentation ne peut dès lors se réduire, au support — le geste artistique, l’affirmation de son esthétique débordent l’oeuvre.
«… Je suis mal connu, très mal connu. On ne parle toujours que de mes excentricités et, de ma peinture c’est à dire de la part la moins importante de mes activités et de mon, oeuvre. Avant tout, je suis critique d’art, je suis le plus génial visionnaire du monde, artistique. Le seul capable d’opérer la synthèse des idées et des forces. Je suis le, Bonaparte de la révolution qui s’achève. ».1
Tout au long de sa carrière, sans hiérarchie, Dalí aura entremêlé l’exercice du dessin, de, l’aquarelle, de la peinture. Ses techniques et supports sont à entendre dans un rapport, de conciliation et de prolifération — rêve et imaginaire, religion et mythologie, sensualité, et féminité sont autant de thèmes que l’on retrouve dans ses oeuvres sur papier et sur, toile.
L’exposition offre à voir une cinquantaine d’oeuvres sur papier réalisées entre 1931, et 1981. Au fil de ce long cheminement, à travers temps et style, resurgit tout l’imaginaire, de l’homme avec ses obsessions, ses fantasmes et ses traits de génie. Cet ensemble, complexe d’études préliminaires, esquisses et dessins, est présenté dans un souci, d’accumulation et de pluralité, laissant transparaître chaque fois l’anarchie créatrice, d’une oeuvre aux orientations multiples.
1 Salvador Dalí répondait à André Parinaud pour l’hebdomadaire Arts, no 566, 2-8 mai 1956
«… Je suis mal connu, très mal connu. On ne parle toujours que de mes excentricités et, de ma peinture c’est à dire de la part la moins importante de mes activités et de mon, oeuvre. Avant tout, je suis critique d’art, je suis le plus génial visionnaire du monde, artistique. Le seul capable d’opérer la synthèse des idées et des forces. Je suis le, Bonaparte de la révolution qui s’achève. ».1
Tout au long de sa carrière, sans hiérarchie, Dalí aura entremêlé l’exercice du dessin, de, l’aquarelle, de la peinture. Ses techniques et supports sont à entendre dans un rapport, de conciliation et de prolifération — rêve et imaginaire, religion et mythologie, sensualité, et féminité sont autant de thèmes que l’on retrouve dans ses oeuvres sur papier et sur, toile.
L’exposition offre à voir une cinquantaine d’oeuvres sur papier réalisées entre 1931, et 1981. Au fil de ce long cheminement, à travers temps et style, resurgit tout l’imaginaire, de l’homme avec ses obsessions, ses fantasmes et ses traits de génie. Cet ensemble, complexe d’études préliminaires, esquisses et dessins, est présenté dans un souci, d’accumulation et de pluralité, laissant transparaître chaque fois l’anarchie créatrice, d’une oeuvre aux orientations multiples.
1 Salvador Dalí répondait à André Parinaud pour l’hebdomadaire Arts, no 566, 2-8 mai 1956
Pratique
Exposition à la galerie jusqu’au 23 février 2013 :
Messine Galerie & Conseil
4 avenue de Messine
75008 Paris
Tél : 01 45 63 53 72
info@galeriemessine.com
Horaires de la galerie :
Lundi – vendredi 10h – 18h30
Le samedi sur rendez-vous
www.galeriemessine.fr/
Exposition au salon MIART, du 5 au 7 avril 2013 :
Horaires : de 12h à 20h
Vernissage le 4 avril 2013, sur invitation
Fieramilanocity
entrance Viale Scarampo, Gate 5
pav. 3, 20145 Milan
www.miart.it/
Messine Galerie & Conseil
4 avenue de Messine
75008 Paris
Tél : 01 45 63 53 72
info@galeriemessine.com
Horaires de la galerie :
Lundi – vendredi 10h – 18h30
Le samedi sur rendez-vous
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Exposition au salon MIART, du 5 au 7 avril 2013 :
Horaires : de 12h à 20h
Vernissage le 4 avril 2013, sur invitation
Fieramilanocity
entrance Viale Scarampo, Gate 5
pav. 3, 20145 Milan
www.miart.it/