Jennifer Douzenel, Phnom Penh, vidéo HD 17’20’’, 2011 
				 
			 
					 Se déplaçant sur les sites d'apparition de ces phénomènes, l'artiste sollicite dans ses oeuvres une forme d'empathie  avec le monde qu'elle réactive au moment de leur rencontre avec le spectateur.  
					 
C'est dans l'intimité du dispositif de la peinture que les vedute de Jennifer Douzenel trouvent leurs dimensions. Je conçois mes vidéos comme des tableaux s’inscrivant dans la continuité de la tradition picturale et où la temporalité se joue comme un élément plastique. J’enregistre des moments du réel réduit au cadre d’un seul plan fixe. L’image en arrêt contient déjà presque tout. Le temps de ces plans, en boucle, permet de quitter l’action pour ce qui l’entoure, pour approcher le sens de la composition ou vaguer vers l’éveil. Je suis une « chasseuse de miracles ». Je traque d’éphémères moments de grâce où la réalité est transfigurée. Silencieuses, mes vidéos appellent à la contemplation de l’inutile. Elles sont un presque rien, une attention, une attente à la vie qui aspire à élucider la complexité du monde. (J.D.)
					 
					 
Intitulée les journées lentes, cette exposition nous renvoie ainsi à la temporalité propre au travail de Jennifer Douzenel, qui nous oblige à stationner dans l'image et dans le cours des choses pour y déceler l'événement.
					 
				 
			 C'est dans l'intimité du dispositif de la peinture que les vedute de Jennifer Douzenel trouvent leurs dimensions. Je conçois mes vidéos comme des tableaux s’inscrivant dans la continuité de la tradition picturale et où la temporalité se joue comme un élément plastique. J’enregistre des moments du réel réduit au cadre d’un seul plan fixe. L’image en arrêt contient déjà presque tout. Le temps de ces plans, en boucle, permet de quitter l’action pour ce qui l’entoure, pour approcher le sens de la composition ou vaguer vers l’éveil. Je suis une « chasseuse de miracles ». Je traque d’éphémères moments de grâce où la réalité est transfigurée. Silencieuses, mes vidéos appellent à la contemplation de l’inutile. Elles sont un presque rien, une attention, une attente à la vie qui aspire à élucider la complexité du monde. (J.D.)
Intitulée les journées lentes, cette exposition nous renvoie ainsi à la temporalité propre au travail de Jennifer Douzenel, qui nous oblige à stationner dans l'image et dans le cours des choses pour y déceler l'événement.
Pratique
					 Jennifer Douzenel, les journées lentes
					 
vernissage jeudi 31 janvier de 18h à 21h
exposition du 1er février au 30 mars 2013
du mercredi au samedi de 14h à 19h (métro Hôtel de Ville)
En partenariat avec parisART et la Fondation d'entreprise Ricard
Commissaire Perrine Lacroix
					 
					 
La BF15
11 quai de la Pêcherie
69001 Lyon
Tél/fax : 04 78 28 66 63
www.labf15.org
			 vernissage jeudi 31 janvier de 18h à 21h
exposition du 1er février au 30 mars 2013
du mercredi au samedi de 14h à 19h (métro Hôtel de Ville)
En partenariat avec parisART et la Fondation d'entreprise Ricard
Commissaire Perrine Lacroix
La BF15
11 quai de la Pêcherie
69001 Lyon
Tél/fax : 04 78 28 66 63
www.labf15.org


 
				 Jennifer Douzenel, les journées lentes, exposition à la BF15, Lyon, du 1er février au 30 mars 2013
			 
 
Dunkerque, LAAC : « La Marrade ». Exposition collective, 18 octobre 2025 - 8 mars 2026
 
				 
 
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