© Jules-Édouard Moustic
Christopher Anderson, notre résident, a fait de son séjour sétois une quête identitaire, celle de son fils, français par sa mère. Mais ne nous y trompons pas, les images-drapeaux que nous livre le pensionnaire de Magnum, celles où le rouge, le blanc et le bleu dominent, nous renvoient à notre frilosité, à notre peur de l’autre…
L’Algérie sera célébrée à tout va en cette date anniversaire. Nous pencherons, quant à nous, un peu du côté de l’Histoire. Celle de la guerre, celle qui n’a toujours pas été écrite. Mais c’est surtout l’Algérie d’aujourd’hui, la richesse de sa création contemporaine qui aura droit de cité : Omar D., Katia Kameli et l’imposant travail de recherche de Bruno Boudjelal donneront le ton de la modernité du pays, loin parfois de nos idées reçues.
Nous aurons à nouveau une exposition collective : “Quand les murs parlent”, dont la scénographie nous mènera de la gare à la Maison de l’Image Documentaire. Le mur sépare, mais il est aussi support de la parole qui se libère, qui revendique et qui donne le ton des révolutions.
L’Amérique du Sud tiendra la vedette, avec deux photographes espagnols qui lui l’ont documentée chacun à leur manière.Rafael Trobat avec son long travail sur le Nicaragua postrévolutionnaire et Sebastián Liste en immersion dans une favela du Brésil.
Tom Wood et son Liverpool des seventies, Gilles Caron et le Scrapbook de sa vie météorite, Albert & Verzone, duettistes venus d’Italie, Jan Banning et beaucoup d’autres pour autant de pistes à suivre en images aux quatre coins de la photographie. Avec, comme à l’habitude, trois soirées de projection, dont la première sera dédiée aux femmes et à l’histoire de leurs luttes.
L’année 2012 est une année charnière pour CéTàVOIR. La Maison de l’Image Documentaire est désormais ouverte à l’année. Elle complète le festival ImageSingulières, ouvert sur le monde, par des préoccupations plus régionales, mais aussi en devenant un lieu de production d’images.
Gilles FAVIER. Directeur artistique d’ImageSingulières
L’Algérie sera célébrée à tout va en cette date anniversaire. Nous pencherons, quant à nous, un peu du côté de l’Histoire. Celle de la guerre, celle qui n’a toujours pas été écrite. Mais c’est surtout l’Algérie d’aujourd’hui, la richesse de sa création contemporaine qui aura droit de cité : Omar D., Katia Kameli et l’imposant travail de recherche de Bruno Boudjelal donneront le ton de la modernité du pays, loin parfois de nos idées reçues.
Nous aurons à nouveau une exposition collective : “Quand les murs parlent”, dont la scénographie nous mènera de la gare à la Maison de l’Image Documentaire. Le mur sépare, mais il est aussi support de la parole qui se libère, qui revendique et qui donne le ton des révolutions.
L’Amérique du Sud tiendra la vedette, avec deux photographes espagnols qui lui l’ont documentée chacun à leur manière.Rafael Trobat avec son long travail sur le Nicaragua postrévolutionnaire et Sebastián Liste en immersion dans une favela du Brésil.
Tom Wood et son Liverpool des seventies, Gilles Caron et le Scrapbook de sa vie météorite, Albert & Verzone, duettistes venus d’Italie, Jan Banning et beaucoup d’autres pour autant de pistes à suivre en images aux quatre coins de la photographie. Avec, comme à l’habitude, trois soirées de projection, dont la première sera dédiée aux femmes et à l’histoire de leurs luttes.
L’année 2012 est une année charnière pour CéTàVOIR. La Maison de l’Image Documentaire est désormais ouverte à l’année. Elle complète le festival ImageSingulières, ouvert sur le monde, par des préoccupations plus régionales, mais aussi en devenant un lieu de production d’images.
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Pratique
Bureau du festival
Maison de l’Image Documentaire
Tél. : 04 67 18 27 54
www.la-mid.fr
Office de Tourisme de Sète
Tél. : 04 99 04 71 71
www.ot-sete.fr
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