Elena Elbe, Photographe
Elena Elbe, Me, myself & I, photographie, 53 x 81 cm, 2009
Elena Elbe arrive en France en 1998 et s’y installe définitivement en 2004. Son travail est exposé régulièrement en France, aux Etats-Unis et en Russie (Musée des Rêves de Freud, Musée Vladimir Nabokov à St-Pétersburg, Winzavod Center for Contemporary Art à Moscou).
Elena Elbe est une photographe atypique : en perpétuelle recherche sur son art, en perpétuelle recherche sur elle-même. Elle se met en scène, se cache. On la voit rare¬ment directement. On admire son reflet, dans les infinités de miroirs qu’elle installe scru¬puleusement pour créer des effets de trans¬parence et de superposition. Et si on ne la voit pas, on l’imagine… Perdue dans ces vagues dorées. Le reflet, c’est une manière de ques¬tionner l’image. Que voyons-nous ? Quelle image donne-t-on ? Quelle part de nous-même mettons-nous en avant ? « Ces photos que l’on place sur nos profils comme celui de face-book, est-ce bien nous ? Son reflet multiplié à l’infini n’est-il pas finalement plus révélateur ? Comment l’inconscient s’immisce-t-il dans ce cache-cache des images ? »
Elena Elbe est une photographe atypique : en perpétuelle recherche sur son art, en perpétuelle recherche sur elle-même. Elle se met en scène, se cache. On la voit rare¬ment directement. On admire son reflet, dans les infinités de miroirs qu’elle installe scru¬puleusement pour créer des effets de trans¬parence et de superposition. Et si on ne la voit pas, on l’imagine… Perdue dans ces vagues dorées. Le reflet, c’est une manière de ques¬tionner l’image. Que voyons-nous ? Quelle image donne-t-on ? Quelle part de nous-même mettons-nous en avant ? « Ces photos que l’on place sur nos profils comme celui de face-book, est-ce bien nous ? Son reflet multiplié à l’infini n’est-il pas finalement plus révélateur ? Comment l’inconscient s’immisce-t-il dans ce cache-cache des images ? »