Mehdi Qotbi © DR
Peintre des lettres, Mehdi Qotbi et Yahya, sculpteur et designer d’objets d’art, présentent dix-sept œuvres, splendides cristallisations de leur dialogue dans un langage imaginaire, libre héritage de la tradition calligraphique des arts de l’Islam.
Ensemble, ils ont créé ces signes et ces lettres qui s’entrelacent et composent une nouvelle abstraction. Immanente ou transcendante, la lumière s’insinue dans cette calligraphie en trois dimensions et lui confère une aura quasiment magique à ces sculptures. Accueillie, par l’Institut du monde arabe, cette exposition sera présentée sur son parvis et dans le Mobile Art, pavillon dû à l’architecte Zaha Hadid.
Immobiles, ces sculptures suggèrent un monde d’ombre et de lumière. Sans message explicite, ces formes abstraites composées de signes arbitraires nous racontent pourtant une véritable histoire, épique et poétique, où l’Orient rejoint l’Occident, où les cultures se changent en échangeant, où des artistes inventent la contemporanéité et rêvent l’universalité d’un héritage calligraphique ancestral.
Dans cette exposition exclusive, Yahya et Mehdi Qotbi nous donnent à voir dix-sept objets artistiques non identifiés, comme des étoiles inédites dans le ciel de la création, qui visent avant tout message une perfection formelle. En quête de cette impossible et paradoxale « lumière invisible », Yahya et Mehdi Qotbi rejoignent ainsi la grande aventure de l’art : la recherche de l’absolu.
Commissariat : Elisabeth Azoulay et Jérôme Neutres
Scénographie : Nathalie Crinière
Un catalogue est édité aux Editions Babylone à l’occasion de cette exposition.
vernissage : mardi 9 avril, à partir de 18h00
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed V
75236 - Paris Cedex 05
Ensemble, ils ont créé ces signes et ces lettres qui s’entrelacent et composent une nouvelle abstraction. Immanente ou transcendante, la lumière s’insinue dans cette calligraphie en trois dimensions et lui confère une aura quasiment magique à ces sculptures. Accueillie, par l’Institut du monde arabe, cette exposition sera présentée sur son parvis et dans le Mobile Art, pavillon dû à l’architecte Zaha Hadid.
Immobiles, ces sculptures suggèrent un monde d’ombre et de lumière. Sans message explicite, ces formes abstraites composées de signes arbitraires nous racontent pourtant une véritable histoire, épique et poétique, où l’Orient rejoint l’Occident, où les cultures se changent en échangeant, où des artistes inventent la contemporanéité et rêvent l’universalité d’un héritage calligraphique ancestral.
Dans cette exposition exclusive, Yahya et Mehdi Qotbi nous donnent à voir dix-sept objets artistiques non identifiés, comme des étoiles inédites dans le ciel de la création, qui visent avant tout message une perfection formelle. En quête de cette impossible et paradoxale « lumière invisible », Yahya et Mehdi Qotbi rejoignent ainsi la grande aventure de l’art : la recherche de l’absolu.
Commissariat : Elisabeth Azoulay et Jérôme Neutres
Scénographie : Nathalie Crinière
Un catalogue est édité aux Editions Babylone à l’occasion de cette exposition.
vernissage : mardi 9 avril, à partir de 18h00
Institut du monde arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed V
75236 - Paris Cedex 05