Arraché à sa vie parisienne parmi les peintres d'avant-garde, Léger se trouve, comme des millions de soldats, piégé et confronté aux horreurs d'un conflit qui, au fil des mois, prend une dimension industrielle.
L'exposition Ah que la guerre est cubiste ! Fernand Léger et la Grande Guerre revient sur le parcours de l'artiste pendant les trois années qu'il a passées au front, d'abord comme sapeur puis comme brancardier. Peintures et dessins en grisaille, évoquent la mobilisation, les longs mois passés dans l'Argonne, puis à Verdun. L'intimité de ses pensées et de ses sentiments sera dévoilée dans un « Salon d'écoute » où sont lues les lettres qu'il adresse à ses proches : parfois terrifié, souvent rageur ou désespéré, il est aussi enthousiasmé par la beauté mécanique de l'artillerie, et profondément admiratif de ses camarades de tranchées. La dernière salle, consacrée aux peintures mécaniques des années vingt, montre après la guerre une rupture esthétique dans l'œuvre de Fernand Léger.
Une création contemporaine sonore de Simon Nicolas et Diane Blondeau accompagne l'exposition.
L’exposition a reçu le label de la Mission du Centenaire.
COMMISSAIRES
Diana Gay, conservatrice au musée national Fernand Léger
Nelly Maillard, chargée des collections au musée national Fernand Léger
L'exposition Ah que la guerre est cubiste ! Fernand Léger et la Grande Guerre revient sur le parcours de l'artiste pendant les trois années qu'il a passées au front, d'abord comme sapeur puis comme brancardier. Peintures et dessins en grisaille, évoquent la mobilisation, les longs mois passés dans l'Argonne, puis à Verdun. L'intimité de ses pensées et de ses sentiments sera dévoilée dans un « Salon d'écoute » où sont lues les lettres qu'il adresse à ses proches : parfois terrifié, souvent rageur ou désespéré, il est aussi enthousiasmé par la beauté mécanique de l'artillerie, et profondément admiratif de ses camarades de tranchées. La dernière salle, consacrée aux peintures mécaniques des années vingt, montre après la guerre une rupture esthétique dans l'œuvre de Fernand Léger.
Une création contemporaine sonore de Simon Nicolas et Diane Blondeau accompagne l'exposition.
L’exposition a reçu le label de la Mission du Centenaire.
COMMISSAIRES
Diana Gay, conservatrice au musée national Fernand Léger
Nelly Maillard, chargée des collections au musée national Fernand Léger
Pratique
Exposition organisée par les musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes
du 25 octobre 2014 au 2 février 2015
tous les jours de 10h à 18h, 17h à partir de novembre, sauf le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier.
MUSÉE NATIONAL FERNAND LÉGER
Chemin du Val de Pôme
06410 Biot, France
Tél. +33(0)4 92 91 50 30
www.musee-fernandleger.fr
du 25 octobre 2014 au 2 février 2015
tous les jours de 10h à 18h, 17h à partir de novembre, sauf le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier.
MUSÉE NATIONAL FERNAND LÉGER
Chemin du Val de Pôme
06410 Biot, France
Tél. +33(0)4 92 91 50 30
www.musee-fernandleger.fr