Repas Préhistorique devant la grotte en 1997
Pour les temps préhistoriques, seules les données matérielles, seuls les documents archéologiques permettent d’appréhender les périodes et de reconstituer le passé. De ce fait, l’étude des premières sociétés humaines est d’une grande complexité ; elle a toutefois, ces dernières années, fait des progrès considérables grâce aux moyens d’investigation de plus en plus sophistiqués que les progrès scientifiques ont mis à sa disposition.
C’est cette histoire que Jean Guilaine nous invite à découvrir à partir de son parcours exceptionnel. A travers ses nombreux chantiers archéologiques des Pyrénées de l’est (Aude et Pyrénées-Orientales) jusqu’à Chypre, en passant par l’Italie, cette histoire s’écrit avec des objets de pierre, d’os, de terre cuite, de bronze, avec des graines, des pollens et des charbons.
Cette exposition lui doit beaucoup puisqu’il a sélectionné les objets exposés, et relu tous les tex-tes de manière à ce que cette présentation ne pêche ni par simplification abusive ni par excès d’érudition.
L’exposition ici reprise au Château-Musée de Bélesta, voit son titre modifié « Protohistoire de la Méditerranée, dans les pas de Jean Guilaine », mais en conservant la totalité du mobilier archéologique présenté à Carcassonne, associé à des reconstitutions de mobiliers de Chypre et d’Italie du Sud. Une série d’objets archéologiques provenant de sites roussillonnais comparent les cultures matérielles de mêmes périodes de part et d’autre des Corbières.
Un catalogue d’exposition réalisé par les Archives Départementales de l’Aude accompagne l’ex-position (en vente au Château-Musée de Bélesta – 10 €).
C’est cette histoire que Jean Guilaine nous invite à découvrir à partir de son parcours exceptionnel. A travers ses nombreux chantiers archéologiques des Pyrénées de l’est (Aude et Pyrénées-Orientales) jusqu’à Chypre, en passant par l’Italie, cette histoire s’écrit avec des objets de pierre, d’os, de terre cuite, de bronze, avec des graines, des pollens et des charbons.
Cette exposition lui doit beaucoup puisqu’il a sélectionné les objets exposés, et relu tous les tex-tes de manière à ce que cette présentation ne pêche ni par simplification abusive ni par excès d’érudition.
L’exposition ici reprise au Château-Musée de Bélesta, voit son titre modifié « Protohistoire de la Méditerranée, dans les pas de Jean Guilaine », mais en conservant la totalité du mobilier archéologique présenté à Carcassonne, associé à des reconstitutions de mobiliers de Chypre et d’Italie du Sud. Une série d’objets archéologiques provenant de sites roussillonnais comparent les cultures matérielles de mêmes périodes de part et d’autre des Corbières.
Un catalogue d’exposition réalisé par les Archives Départementales de l’Aude accompagne l’ex-position (en vente au Château-Musée de Bélesta – 10 €).