
Hubert Robert, Le Port de Ripetta © Wikipedia
« L’Ange de l’Histoire » 25 avril – 7 juillet 2013
La première exposition de ce programme, intitulée « L’Ange de l’Histoire », explore de manière trans-historique le thème des ruines et du débris dans l’art : les décombres comme un matériau ou une métaphore.
La Collection des Beaux-arts :
La rhétorique de la ruine, du XVIe au XIXe siècle.
« Les désastres de la guerre » : Paris au lendemain de la commune, photographies de Jules Andrieu / La France de 1915 vue par le service photographique de l’Armée.
Les ruines d’un cabinet d’amateur (estampes).
Redécouvrir Glauco Rodrigues :
Première exposition en France d’un artiste « pop » brésilien (1929-2004), dont l’ambition était de « refondre » l’histoire de son pays. « La composition des tableaux est fragmentée, les différentes strates se côtoient sans se toucher, l’artiste opère par collage. Son travail est extrêmement critique, d’une critique sociale plutôt que politique puisque le social est l’avatar du politique[...]» Simon Njami
L’Exposition collective d’art contemporain : elle rassemble les œuvres d’une génération d’arpenteurs des décombres de l’histoire, que l’on pourrait qualifier de « primitifs de l’ère numérique », en raison des rapports qu’ils/elles entretiennent avec les archives du web, ou de leur intérêt pour les fragments du passé et les rebuts culturels.
Avec : Marwa Arsanios, Jules de Balincourt, Walead Beshty, Isabelle Cornaro, Simon Fujiwara, Haris Epaminonda, Rebecca H. Quaytman, Josephine Meckseper, David Noonan, Lili Reynaud-Dewar, Clément Rodzielski, Slavs and Tatars, Meredyth Sparks
Le Belvédère est un espace dédié aux étudiants et aux jeunes artistes issus des Beaux-arts.
Florian Fouché l’inaugure, du 25 avril au 20 mai. Né en 1983, il est diplômé en 2010 (Ateliers Deacon, Pataut, Faigenbaum) et du programme de recherche La Seine en 2012.
Viendront ensuite Chloé Quenum, diplômée en 2011, du 23 mai au 19 juin, puis une exposition de groupe réalisée par Éva Barto et Jean-Baptiste Lenglet, directeurs artistiques de la Revue Oscillations, du 21 juin au 7 juillet.
Éva Barto est étudiante en 5e année. Jean-Baptiste Lenglet a été Diplômé/Félicité en 2012.
La Collection des Beaux-arts :
La rhétorique de la ruine, du XVIe au XIXe siècle.
« Les désastres de la guerre » : Paris au lendemain de la commune, photographies de Jules Andrieu / La France de 1915 vue par le service photographique de l’Armée.
Les ruines d’un cabinet d’amateur (estampes).
Redécouvrir Glauco Rodrigues :
Première exposition en France d’un artiste « pop » brésilien (1929-2004), dont l’ambition était de « refondre » l’histoire de son pays. « La composition des tableaux est fragmentée, les différentes strates se côtoient sans se toucher, l’artiste opère par collage. Son travail est extrêmement critique, d’une critique sociale plutôt que politique puisque le social est l’avatar du politique[...]» Simon Njami
L’Exposition collective d’art contemporain : elle rassemble les œuvres d’une génération d’arpenteurs des décombres de l’histoire, que l’on pourrait qualifier de « primitifs de l’ère numérique », en raison des rapports qu’ils/elles entretiennent avec les archives du web, ou de leur intérêt pour les fragments du passé et les rebuts culturels.
Avec : Marwa Arsanios, Jules de Balincourt, Walead Beshty, Isabelle Cornaro, Simon Fujiwara, Haris Epaminonda, Rebecca H. Quaytman, Josephine Meckseper, David Noonan, Lili Reynaud-Dewar, Clément Rodzielski, Slavs and Tatars, Meredyth Sparks
Le Belvédère est un espace dédié aux étudiants et aux jeunes artistes issus des Beaux-arts.
Florian Fouché l’inaugure, du 25 avril au 20 mai. Né en 1983, il est diplômé en 2010 (Ateliers Deacon, Pataut, Faigenbaum) et du programme de recherche La Seine en 2012.
Viendront ensuite Chloé Quenum, diplômée en 2011, du 23 mai au 19 juin, puis une exposition de groupe réalisée par Éva Barto et Jean-Baptiste Lenglet, directeurs artistiques de la Revue Oscillations, du 21 juin au 7 juillet.
Éva Barto est étudiante en 5e année. Jean-Baptiste Lenglet a été Diplômé/Félicité en 2012.