Paquito, el facha y Arruga ante la visita inesperada II
Cette exposition monographique nous invite à la découverte des dernières créations du jeune peintre argentin de 34 ans Sergio MOSCONA et offre une vision protéiforme du travail de l’artiste à travers un ensemble important de peintures à l’acrylique, collages, dessins à l’acrylique ou à l’encre, présentés pour la première fois à Paris.
Cette exposition personnelle met en perspective le questionnement de Sergio Moscona sur notre réalité d’êtres humains. Dans l’adversité, face à l’autre, confronté aux péripéties de l’existence, comment réagissons-nous ? Quelles questions nous posons-nous ? Comment l’artiste matérialise-t’il son ressenti face à notre imparfaite condition d’êtres humains ? Illustrant ses affres, ses écueils, mais aussi ses réflexions philosophiques, Sergio Moscona porte un regard riche et interrogateur sur l’existence.
Cette exposition personnelle met en perspective le questionnement de Sergio Moscona sur notre réalité d’êtres humains. Dans l’adversité, face à l’autre, confronté aux péripéties de l’existence, comment réagissons-nous ? Quelles questions nous posons-nous ? Comment l’artiste matérialise-t’il son ressenti face à notre imparfaite condition d’êtres humains ? Illustrant ses affres, ses écueils, mais aussi ses réflexions philosophiques, Sergio Moscona porte un regard riche et interrogateur sur l’existence.
L’exposition « Paquito Laguna » a été présentée de décembre 2013 à février 2014 au Museo de artes plasticas Eduardo Sivori de Buenos Aires, en Argentine.
Paquito Laguna est un personnage composite crée par Sergio Moscona et inspiré de deux entités : Juanito Laguna, personnage crée par le peintre Antonio Berni qui dépeint la vie quotidienne des enfants des bidonvilles qui se sont multipliés lors de l’arrivée massive de travailleurs attirés par les opportunités offertes par les usines dans les années 1960 aux abords des grandes villes. L’autre source d’inspiration est « Paco », d’où le nom « Paquito Laguna », titre de l’exposition.
« Paco » est une drogue bon marché dérivée de la cocaïne. Ainsi, le personnage crée par Sergio Moscona est à la fois un « Juanito » et un « Paquito », enfant vulnérable en proie aux affres d’une réalité sociale misérable étroitement liée à son environnement. Sergio Moscona dresse le constat sombre d’une époque qui n’offre guère d’avenir à ces Juanitos et Paquitos puisque désormais les usines ont fermé, les parents se retrouvent sans travail et l’école ne parvient pas à rassurer les enfants et dénouer ces situations complexes de détresse humaine. L’artiste montre son appréhension quant au futur de ces enfants. Paquito est victime d’inégalités croissantes et de l’aliénation des plus marginalisés. Sergio Moscona dépeint avec perplexité et sans concession la société dans laquelle il vit. Ses œuvres se situent à la jonction entre le chaos social réel et le chaos artistique. Il met en scène les forces sourdes à l’œuvre, génératrices d’angoisse, destructrices du lien social.
En effet, la violence, les excès, la misère sociale compromettent la survie de la subjectivité des individus. Sergio Moscona dénonce cette réalité globale et espère voir un jour Paquito se délivrer de ses cauchemars et réclamer son droit au rêve.
« Paco » est une drogue bon marché dérivée de la cocaïne. Ainsi, le personnage crée par Sergio Moscona est à la fois un « Juanito » et un « Paquito », enfant vulnérable en proie aux affres d’une réalité sociale misérable étroitement liée à son environnement. Sergio Moscona dresse le constat sombre d’une époque qui n’offre guère d’avenir à ces Juanitos et Paquitos puisque désormais les usines ont fermé, les parents se retrouvent sans travail et l’école ne parvient pas à rassurer les enfants et dénouer ces situations complexes de détresse humaine. L’artiste montre son appréhension quant au futur de ces enfants. Paquito est victime d’inégalités croissantes et de l’aliénation des plus marginalisés. Sergio Moscona dépeint avec perplexité et sans concession la société dans laquelle il vit. Ses œuvres se situent à la jonction entre le chaos social réel et le chaos artistique. Il met en scène les forces sourdes à l’œuvre, génératrices d’angoisse, destructrices du lien social.
En effet, la violence, les excès, la misère sociale compromettent la survie de la subjectivité des individus. Sergio Moscona dénonce cette réalité globale et espère voir un jour Paquito se délivrer de ses cauchemars et réclamer son droit au rêve.
Pratique
GALERIE CLAIRE CORCIA
323, rue Saint-Martin
75003 PARIS
09 52 06 65 88 ou 06 62 84 03 74
Métro : Arts et Métiers ou Réaumur Sébastopol / Parking St Martin à proximité
Exposition du 3 avril au 31 mai 2014
Mardi-samedi : 11h30 – 19h
Pour toute information : www.galeriecorcia.com / contact@galeriecorcia.com
323, rue Saint-Martin
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09 52 06 65 88 ou 06 62 84 03 74
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Exposition du 3 avril au 31 mai 2014
Mardi-samedi : 11h30 – 19h
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