Ses peintures sont souvent très travaillées en couleur et ses monotypes relèvent pour lui fondamentalement de la peinture. A partir d'un motif réalisé à l'encre, sur un support non absorbant, il imprime lui-même avec une presse manuelle. Dans ces monotypes, on ressent à la fois le geste artisanal de sa création et le mystère lié à l’empreinte.
Ses monotypes dialoguent avec les toiles inondées de couleurs, nimbées de reflets chatoyants et subtils d'Ana Gonzalez Sola. La luminosité des tons, la sensualité des matières alliées à leur désordre coloré compose une fresque vivante qui rayonne de dynamisme et de mouvement, contrepoint à la sérénité profonde des monotypes de Didier Paquignon. Ce dialogue entre ces petits formats s’effectuera avec d’autant plus de cohérence et de richesse que le thème de la ville traverse l’œuvre des deux artistes, en en révélant le caractère mystérieux et intemporel d’un côté, vivant et vibrant de l’autre, empreints d’une poésie propre à chacun de leur univers.
Ses monotypes dialoguent avec les toiles inondées de couleurs, nimbées de reflets chatoyants et subtils d'Ana Gonzalez Sola. La luminosité des tons, la sensualité des matières alliées à leur désordre coloré compose une fresque vivante qui rayonne de dynamisme et de mouvement, contrepoint à la sérénité profonde des monotypes de Didier Paquignon. Ce dialogue entre ces petits formats s’effectuera avec d’autant plus de cohérence et de richesse que le thème de la ville traverse l’œuvre des deux artistes, en en révélant le caractère mystérieux et intemporel d’un côté, vivant et vibrant de l’autre, empreints d’une poésie propre à chacun de leur univers.

Didier Paquignon, Elbasan la nuit, 30,8 x 41, cm