Le mercredi 15 juillet 20h30. Sirba Octet / Musiques yiddish. Salle de Maîstre – ALBERTVILLE
Bien des thèmes du programme A Yiddishe Mame sont des classiques, non qu’ils soient toujours connus de tous, mais parce qu’ils ont beaucoup voyagé. Les traditions musicales Yiddish sont en effet la synthèse de plusieurs siècles d'interactions entres Juifs et non Juifs. Ainsi, au fil du temps, les thèmes hébraïques se sont enrichis de motifs populaires empruntés aux Russes, Grecs, Roumains, Polonais, Tchèques, Bulgares, etc. Tantôt déchirants de nostalgie, tantôt follement endiablés, ils se fredonnent, se dansent, se fêtent, se laissent réinterpréter au fil des époques, des régions, des parcours et des histoires.
Avec une orchestration oscillant sans cesse entre musique de chambre et musiques traditionnelles, les cordes, la clarinette, le piano et le cymbalum du Sirba Octet nous livrent des interprétations d’une précision, d’une maîtrise et d’une finesse remarquables. Leur dernier album Du Shetl à New York a obtenu un 10 de Classica Répertoire, et a été joué au Théâtre de l’Européen à l’automne 2008.
Un voyage authentique et original à travers le yiddish land affrété par des musiciens virtuoses qui portent leur cœur au bout de leurs doigts, pour passer ensemble du rire aux larmes, de l’émotion la plus intense à la joie la plus contagieuse ! Oy !
Richard Schmoucler (violon)
Christian Brière (violon)
Philippe Berrod (clarinette)
Iurie Morar (cymbalum)
Bernard Cazauran (contrebasse)
David Gaillard (alto)
Claude Giron (violoncelle)
Laurent Boukobza (piano)
Avec une orchestration oscillant sans cesse entre musique de chambre et musiques traditionnelles, les cordes, la clarinette, le piano et le cymbalum du Sirba Octet nous livrent des interprétations d’une précision, d’une maîtrise et d’une finesse remarquables. Leur dernier album Du Shetl à New York a obtenu un 10 de Classica Répertoire, et a été joué au Théâtre de l’Européen à l’automne 2008.
Un voyage authentique et original à travers le yiddish land affrété par des musiciens virtuoses qui portent leur cœur au bout de leurs doigts, pour passer ensemble du rire aux larmes, de l’émotion la plus intense à la joie la plus contagieuse ! Oy !
Richard Schmoucler (violon)
Christian Brière (violon)
Philippe Berrod (clarinette)
Iurie Morar (cymbalum)
Bernard Cazauran (contrebasse)
David Gaillard (alto)
Claude Giron (violoncelle)
Laurent Boukobza (piano)
vendredi 17 juillet 20h30. Lecture concert d’après l’œuvre de Saint Exupéry. Salle de Maîstre – ALBERTVILLE
Ariane Jacob (piano), Philippe Bernold (flûte), Didier Sandre (comédien) / Le Petit Prince
« On ne connaît que les choses que l'on apprivoise. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. »
Le Petit Prince – Antoine de St-Exupéry
Que dire du Petit Prince ? Qu’aujourd’hui il est universel, qu’il nous surprend toujours, nous enchante et nous inspire le meilleur…
Cette petite « pépite » de texte sera servi ici par un grand nom du théâtre qu’est Didier Sandre, partageant la scène avec les deux créateurs de ce concert-lecture où Saint-Exupéry croise Mozart, Debussy, Fauré… : Philippe Bernold et Ariane Jacob sont des artistes rares, à la fois simples et talentueux. Le premier promène sa flûte dans les salles de concert du monde entier jouant aux côtés des plus grands comme Rostropovitch, Menuhin ou Rampal. Quant à Ariane Jacob, lorsqu’elle n’est pas sur scène au Théâtre du Châtelet, ou à La Folle Journée de Nantes en musique de chambre, elle conçoit et interprète des spectacles alliant musique et textes avec Lambert Wilson, Didier Sandre ou André Dussollier.
Que dire donc de cette soirée ? Que la voix du Petit Prince, portée par celle de Didier Sandre, est enluminée par le piano d’Ariane Jacob et la flûte enchanteresse de Philippe Bernold. Et surtout que c’est un immense honneur et beaucoup de bonheur pour le festival des Rencontres Musicales, de vous offrir cette soirée fabuleuse et unique !
« On ne connaît que les choses que l'on apprivoise. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. »
Le Petit Prince – Antoine de St-Exupéry
Que dire du Petit Prince ? Qu’aujourd’hui il est universel, qu’il nous surprend toujours, nous enchante et nous inspire le meilleur…
Cette petite « pépite » de texte sera servi ici par un grand nom du théâtre qu’est Didier Sandre, partageant la scène avec les deux créateurs de ce concert-lecture où Saint-Exupéry croise Mozart, Debussy, Fauré… : Philippe Bernold et Ariane Jacob sont des artistes rares, à la fois simples et talentueux. Le premier promène sa flûte dans les salles de concert du monde entier jouant aux côtés des plus grands comme Rostropovitch, Menuhin ou Rampal. Quant à Ariane Jacob, lorsqu’elle n’est pas sur scène au Théâtre du Châtelet, ou à La Folle Journée de Nantes en musique de chambre, elle conçoit et interprète des spectacles alliant musique et textes avec Lambert Wilson, Didier Sandre ou André Dussollier.
Que dire donc de cette soirée ? Que la voix du Petit Prince, portée par celle de Didier Sandre, est enluminée par le piano d’Ariane Jacob et la flûte enchanteresse de Philippe Bernold. Et surtout que c’est un immense honneur et beaucoup de bonheur pour le festival des Rencontres Musicales, de vous offrir cette soirée fabuleuse et unique !
samedi 18 juillet 21h00. Stochelo Rosenberg et Romane / Jazz manouche. ALBERTVILLE CONFLANS
Esplanade de la Grande Roche (repli Salle de Maîstre si besoin)
« Il ne suffit pas de réunir deux grands musiciens pour obtenir de la grande musique : il faut qu’opère une certaine forme d’émulation, d’amitié, de défi, d’alchimie. »
Et cette alchimie, Stochelo Rosenberg et Romane la cultivent et l’élèvent avec une gourmandise d’ogre, dans un dialogue hautement inspiré où chacun parvient à magnifier les saveurs du jeu de l’autre. Verve mélodique, virtuosité bien tempérée, sens du « drive » et surtout amour de la fête et du partage sont les ingrédients de cette soirée où 2 grands musiciens du Jazz Gitan larguent les amarres, les habitudes et le folklore pour s’ouvrir à tous les vents et perpétuer la belle tradition de la « réappropriation » qui fut à l’origine même de l’art de Django Reinhardt. Lorsque celui-ci prenait prétexte de la variété de son temps pour en faire une vraie musique aussi savante que conviviale.
Désigné dès son plus jeune âge comme successeur de Django par la communauté manouche à laquelle il appartient, Stochelo Rosenberg fait parler une technique rare et son vibrato très personnel ponctue des phrases hallucinantes, démontrant, si besoin était, que technique et expression ne font pas chambres à part. Il ne sait ni lire ni écrire la musique et a appris la guitare en écoutant les disques de Django, et en reprenant les accords qu’il voyait ses oncles jouer lors des bœufs sur le camp manouche.
Quant à Romane, bien que « gadjo », il s’est imposé dans le milieu et en est devenu un pilier au même titre que son comparse. Leurs nombreux albums et concerts les ont amenés à jouer ensembles, comme ce soir, mais également avec diverses figures incontournables du genre, de Bireli Lagrène à Tchavolo Schmitt en passant par Angelo Debarre et même Didier Lockwood !
Résultat : du swing, toujours, encore, avec 2 figures incontournables de la scène manouche actuelle pour célébrer cette année le centenaire de la naissance de Django.
« Il ne suffit pas de réunir deux grands musiciens pour obtenir de la grande musique : il faut qu’opère une certaine forme d’émulation, d’amitié, de défi, d’alchimie. »
Et cette alchimie, Stochelo Rosenberg et Romane la cultivent et l’élèvent avec une gourmandise d’ogre, dans un dialogue hautement inspiré où chacun parvient à magnifier les saveurs du jeu de l’autre. Verve mélodique, virtuosité bien tempérée, sens du « drive » et surtout amour de la fête et du partage sont les ingrédients de cette soirée où 2 grands musiciens du Jazz Gitan larguent les amarres, les habitudes et le folklore pour s’ouvrir à tous les vents et perpétuer la belle tradition de la « réappropriation » qui fut à l’origine même de l’art de Django Reinhardt. Lorsque celui-ci prenait prétexte de la variété de son temps pour en faire une vraie musique aussi savante que conviviale.
Désigné dès son plus jeune âge comme successeur de Django par la communauté manouche à laquelle il appartient, Stochelo Rosenberg fait parler une technique rare et son vibrato très personnel ponctue des phrases hallucinantes, démontrant, si besoin était, que technique et expression ne font pas chambres à part. Il ne sait ni lire ni écrire la musique et a appris la guitare en écoutant les disques de Django, et en reprenant les accords qu’il voyait ses oncles jouer lors des bœufs sur le camp manouche.
Quant à Romane, bien que « gadjo », il s’est imposé dans le milieu et en est devenu un pilier au même titre que son comparse. Leurs nombreux albums et concerts les ont amenés à jouer ensembles, comme ce soir, mais également avec diverses figures incontournables du genre, de Bireli Lagrène à Tchavolo Schmitt en passant par Angelo Debarre et même Didier Lockwood !
Résultat : du swing, toujours, encore, avec 2 figures incontournables de la scène manouche actuelle pour célébrer cette année le centenaire de la naissance de Django.
dimanche 19 juillet, 18h00. Enkjargal (musique mongole) / Le chant de la Steppe. Eglise Saint Grat – ALBERTVILLE CONFLANS
Dans les steppes de Mongolie, hommes et chevaux vivent, de concert. Les deux peuples s’aident, s’entrelacent et se soutiennent pour vivre dans ces contrées où seul le vent est maître. Alors quand les artistes mongols parlent à d’autres hommes, c’est leur cœur qui hennit, ce sont leurs instruments qui galopent et leurs voix qui chevauchent nos sens.
Enkjargal fait partie de ces maîtres qui ont su dompter des techniques vocales et instrumentales proches du surnaturel. Quand ses doigts dansent sur une vièle à tête de cheval, c’est toute la plaine qui résonne à nos oreilles. Quand sa voix se dédouble, elle évoque le mystère et le lointain de ces paysages majestueux. Le chant diphonique pratiqué depuis des siècles dans le pays de l’Altaï consiste en effet à produire, avec un organe vocal unique, deux sons à la fois.
Auteur, compositeur, Enkjargal revisite le patrimoine traditionnel tout en se faisant le porte-parole d’artistes mongols actuels. Il est rejoint dans cette entreprise par deux autres musiciens de talent : Baadma qui pratique le « chant long », sorte de chant ornementé proche de l’improvisation, et Ganpurev Dagvan, interprète de vièle basse et également compositeur.
Ces trois artistes nous convient à un voyage de plus de 10 000 kilomètres, cheveux au vent et cœur en émoi où pour quelques instants, quelques instants seulement, nous pourrons être libres de toute attache et parcourir la steppe sans autre limite que l’horizon.
Enkjargal : chant diphonique et vièle à tête de cheval
Baadma : chant long
Ganpurev Dagvan : Chant et vièle à tête de cheval basse
Enkjargal fait partie de ces maîtres qui ont su dompter des techniques vocales et instrumentales proches du surnaturel. Quand ses doigts dansent sur une vièle à tête de cheval, c’est toute la plaine qui résonne à nos oreilles. Quand sa voix se dédouble, elle évoque le mystère et le lointain de ces paysages majestueux. Le chant diphonique pratiqué depuis des siècles dans le pays de l’Altaï consiste en effet à produire, avec un organe vocal unique, deux sons à la fois.
Auteur, compositeur, Enkjargal revisite le patrimoine traditionnel tout en se faisant le porte-parole d’artistes mongols actuels. Il est rejoint dans cette entreprise par deux autres musiciens de talent : Baadma qui pratique le « chant long », sorte de chant ornementé proche de l’improvisation, et Ganpurev Dagvan, interprète de vièle basse et également compositeur.
Ces trois artistes nous convient à un voyage de plus de 10 000 kilomètres, cheveux au vent et cœur en émoi où pour quelques instants, quelques instants seulement, nous pourrons être libres de toute attache et parcourir la steppe sans autre limite que l’horizon.
Enkjargal : chant diphonique et vièle à tête de cheval
Baadma : chant long
Ganpurev Dagvan : Chant et vièle à tête de cheval basse
mardi 21 et mercredi 22 juillet. Ensemble Céladon (musique ancienne) / Music at the Castel Tavern. Eglise Saint Maxime – BEAUFORT (73270) / Eglise – LA ROCHETTE (73110)
Voici une soirée où la bonne chère, le bon vin et la belle musique ne font qu’un. L’ensemble de musique ancienne CELADON nous propose de nous attabler dans un pub londonien à la fin du 17e siècle, en compagnie de Purcell, compositeur de musique sacrée et d’opéras mais également d’odes aux fripouilles, de comptines de comptoir et de mélodies de bas-fonds.
Quel foisonnement devait avoir cours dans ces tavernes un peu sombres où se rassemblaient les poètes, musiciens et artistes en tous genres de Londres, enfin débarrassés du puritanisme des années Cromwell ! Cette musique baroque pleine et chatoyante, qui profite de la vie, s’inspirant du beau et du laid présent dans chaque être humain, est la réponse de ces artistes à un monde partant en déliquescence et qu’ils ne comprennent plus.
Les quatre musiciens de CELADON se régalent en interprétant ce programme. Le contre-ténor Paulin Bündgen a fondé cet ensemble en 1999 dans le but d’explorer le répertoire pour voix d’alto, que ce soit en musique ancienne ou en musique contemporaine. Depuis les prix et les concerts de CELADON s’enchaînent : Festival International de Musique de Julita (Suède), Divina Musica (Rhône), Labeaume en Musique (Ardèche), Heidelberg (Allemagne), Festival de Musique Ancienne de Brest…
« Soledad tenguo de ti », le premier disque de l'ensemble dédié à la musique renaissance portugaise, a été récompensé de 4 étoiles par Le Monde de la Musique. Depuis deux autres enregistrements ont vu le jour chez les labels Arion et Zig Zag Territoires.
Avec un répertoire à la carte, CELADON invite le public à confectionner le menu de cette soirée oscillant entre musique savante et musique populaire : airs à boire, irish tunes, ballades irlandaises et danses enfiévrées au programme : ivresse garantie !
Paulin Bündgen (contre-ténor)
Hélène Houzel (violon)
Eleanor Lewis-Cloué (viole de gambe)
Caroline Huynh Van Xuan (clavecin)
Quel foisonnement devait avoir cours dans ces tavernes un peu sombres où se rassemblaient les poètes, musiciens et artistes en tous genres de Londres, enfin débarrassés du puritanisme des années Cromwell ! Cette musique baroque pleine et chatoyante, qui profite de la vie, s’inspirant du beau et du laid présent dans chaque être humain, est la réponse de ces artistes à un monde partant en déliquescence et qu’ils ne comprennent plus.
Les quatre musiciens de CELADON se régalent en interprétant ce programme. Le contre-ténor Paulin Bündgen a fondé cet ensemble en 1999 dans le but d’explorer le répertoire pour voix d’alto, que ce soit en musique ancienne ou en musique contemporaine. Depuis les prix et les concerts de CELADON s’enchaînent : Festival International de Musique de Julita (Suède), Divina Musica (Rhône), Labeaume en Musique (Ardèche), Heidelberg (Allemagne), Festival de Musique Ancienne de Brest…
« Soledad tenguo de ti », le premier disque de l'ensemble dédié à la musique renaissance portugaise, a été récompensé de 4 étoiles par Le Monde de la Musique. Depuis deux autres enregistrements ont vu le jour chez les labels Arion et Zig Zag Territoires.
Avec un répertoire à la carte, CELADON invite le public à confectionner le menu de cette soirée oscillant entre musique savante et musique populaire : airs à boire, irish tunes, ballades irlandaises et danses enfiévrées au programme : ivresse garantie !
Paulin Bündgen (contre-ténor)
Hélène Houzel (violon)
Eleanor Lewis-Cloué (viole de gambe)
Caroline Huynh Van Xuan (clavecin)
vendredi 24 juillet, 20h30. Duo Franceries – Vannereau (guitare et bandonéon) / Buenos Aires. Eglise – TOURNON (73460)
Le Duo BUENOS AIRES nous invite à plonger dans l’atmosphère surchauffée de l’Argentine des années 50 ! Issu des maisons closes et des bars mal famés, le tango conte la vie douloureuse des Argentins, leur pauvreté, leurs histoires d’amour passionnées, leurs jalousies, leurs rivalités, leurs violents combats et leurs amitiés profondes. Eric Franceries et Jérémy Vannereau, instrumentistes tangueros virtuoses, nous offrent une musique où le rythme ne s’essouffle jamais et où chaque note rugit une émotion.
Le premier apparaît comme l'un des plus talentueux guitaristes de sa génération ; son style, alliant virtuosité et rigueur, constitue un véritable régal pour les amateurs de cet instrument. Digne héritier d’Alexandre Lagoya, avec qui il étudia au CNSM de Paris, ses concerts l’amènent aujourd’hui du Japon aux Etats-Unis en passant par tous les pays d'Europe. La liste des partenaires musicaux d’Eric Franceries est plus qu'impressionnante. Parmi eux : Claude Bolling et Jean-Pierre Rampal, avec qui il obtient une Victoire de la musique en 1994, mais aussi Guy Touvron, Syrinx, et bien d’autres…
Quant à Jérémy Vannereau, enfant du cru originaire de Mercury, il commence par étudier l’accordéon, notamment avec Marcel Azzola. Il remporte de nombreux concours avec cet instrument, dont le Prix Azzola. Il est le plus jeune accordéoniste à participer à l’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville en 1992. Quelques années plus tard, Jérémy tombe amoureux « du petit frère octogonal » de l’accordéon : le bandonéon. Cet instrument lui ouvre les portes d’un des plus grands orchestres européens de tango : Los bandoneones, avec lequel il joue en soliste et enregistre plusieurs albums.
Il ne restait plus à nos deux artistes qu’à se rencontrer : l’entente est immédiate, comme une évidence. Ils jouent et respirent le tango avec le même battement de cœur, le même élan donnant à cette musique ses plus belles lettres de noblesse.
Avec ces 2 musiciens de grand talent, oublié le tango musette… Place à la sensualité enivrante du rouge, or et noir !
Eric Franceries (guitare)
Jérémy Vannereau (bandonéon)
Le premier apparaît comme l'un des plus talentueux guitaristes de sa génération ; son style, alliant virtuosité et rigueur, constitue un véritable régal pour les amateurs de cet instrument. Digne héritier d’Alexandre Lagoya, avec qui il étudia au CNSM de Paris, ses concerts l’amènent aujourd’hui du Japon aux Etats-Unis en passant par tous les pays d'Europe. La liste des partenaires musicaux d’Eric Franceries est plus qu'impressionnante. Parmi eux : Claude Bolling et Jean-Pierre Rampal, avec qui il obtient une Victoire de la musique en 1994, mais aussi Guy Touvron, Syrinx, et bien d’autres…
Quant à Jérémy Vannereau, enfant du cru originaire de Mercury, il commence par étudier l’accordéon, notamment avec Marcel Azzola. Il remporte de nombreux concours avec cet instrument, dont le Prix Azzola. Il est le plus jeune accordéoniste à participer à l’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville en 1992. Quelques années plus tard, Jérémy tombe amoureux « du petit frère octogonal » de l’accordéon : le bandonéon. Cet instrument lui ouvre les portes d’un des plus grands orchestres européens de tango : Los bandoneones, avec lequel il joue en soliste et enregistre plusieurs albums.
Il ne restait plus à nos deux artistes qu’à se rencontrer : l’entente est immédiate, comme une évidence. Ils jouent et respirent le tango avec le même battement de cœur, le même élan donnant à cette musique ses plus belles lettres de noblesse.
Avec ces 2 musiciens de grand talent, oublié le tango musette… Place à la sensualité enivrante du rouge, or et noir !
Eric Franceries (guitare)
Jérémy Vannereau (bandonéon)
dimanche 26 juillet 18h00. Ensemble de Cuivres et Percussions de l’Orchestre National de Lyon et l’Antonini Trio / Hommage à Billie Holiday. Auditorium – LA LECHERE (73260)
On lui a donné tous les surnoms, de "La Callas du blues" à "La Diva du jazz", jusqu'à ce que Lester Young, le plus fidèle de ses compagnons, invente pour elle ce nom de lumière : "Lady Day"…
A l’occasion du cinquantenaire de sa mort en 1959, c’est à Billie Holiday, figure incontournable de la culture noire américaine, que l’Ensemble Cuivres et Percussions de l’Orchestre National de Lyon, accompagné de la chanteuse Catali Antonini et de son trio, a choisi de rendre hommage. Les 16 musiciens nous restituent quelques-uns des grands standards qu’elle a interprétés, signés Gershwin, Michel Legrand ou encore Charlie Parker…
Issu du prestigieux Orchestre National de Lyon, l’Ensemble Cuivres et Percussions du même nom naît voilà une quinzaine d’année, du désir de 12 solistes de l’orchestre de partager leur passion au sein d’une formation plus réduite. En symphonique, ils se produisent dans le monde entier avec les plus grands solistes et chefs d’orchestre du moment. A 12, à mi-chemin entre le quintette de cuivres et le brass band anglo–saxon, ils revisitent le répertoire classique, le jazz et les musiques de films avec leur son si spécifique, cuivré et rond à la fois. Ils ont notamment été invités par la SACEM pour ouvrir la cérémonie de remise de ses grands prix en 1994.
Pour évoquer le timbre incroyable de Billie Holiday, l’Ensemble Cuivres et Percussions a demandé à la chanteuse Catali Antonini de lui prêter le sien. Elle accepte le défi accompagné par son trio, composé de Stéphane Pélegri (vibraphone), Manu Vallognes (basse) et Yvan Oukrid (batterie). Les 4 « jazzeux » se sont entre autres produits au Grenoble Jazz festival comme dans les plus grands festivals d’Europe, et ont partagé leurs notes avec plusieurs grands noms du genre comme André Cecarelli, Franck Tortiller ou encore Paolo Fresu.
Un « Tribute to Lady Day » plein de respect, de nostalgie et d’admiration : amateurs de bon swing, ce concert est pour vous !
A l’occasion du cinquantenaire de sa mort en 1959, c’est à Billie Holiday, figure incontournable de la culture noire américaine, que l’Ensemble Cuivres et Percussions de l’Orchestre National de Lyon, accompagné de la chanteuse Catali Antonini et de son trio, a choisi de rendre hommage. Les 16 musiciens nous restituent quelques-uns des grands standards qu’elle a interprétés, signés Gershwin, Michel Legrand ou encore Charlie Parker…
Issu du prestigieux Orchestre National de Lyon, l’Ensemble Cuivres et Percussions du même nom naît voilà une quinzaine d’année, du désir de 12 solistes de l’orchestre de partager leur passion au sein d’une formation plus réduite. En symphonique, ils se produisent dans le monde entier avec les plus grands solistes et chefs d’orchestre du moment. A 12, à mi-chemin entre le quintette de cuivres et le brass band anglo–saxon, ils revisitent le répertoire classique, le jazz et les musiques de films avec leur son si spécifique, cuivré et rond à la fois. Ils ont notamment été invités par la SACEM pour ouvrir la cérémonie de remise de ses grands prix en 1994.
Pour évoquer le timbre incroyable de Billie Holiday, l’Ensemble Cuivres et Percussions a demandé à la chanteuse Catali Antonini de lui prêter le sien. Elle accepte le défi accompagné par son trio, composé de Stéphane Pélegri (vibraphone), Manu Vallognes (basse) et Yvan Oukrid (batterie). Les 4 « jazzeux » se sont entre autres produits au Grenoble Jazz festival comme dans les plus grands festivals d’Europe, et ont partagé leurs notes avec plusieurs grands noms du genre comme André Cecarelli, Franck Tortiller ou encore Paolo Fresu.
Un « Tribute to Lady Day » plein de respect, de nostalgie et d’admiration : amateurs de bon swing, ce concert est pour vous !
mercredi 29 juillet 20h30. Concert des Lauréats de la Fondation Banque Populaire / Musique classique. Eglise Saint Jean Baptiste – ALBERTVILLE
Attention talent et attention jeunesse ! Les musiciens de ce concert ont 156 ans mais demeurent incroyablement frais ! A eux six réunis, ils ont cet âge canonique et sont les grands solistes classiques de demain.
Ils sont tous issus de la Fondation Groupe Banque Populaire, dont la vocation est d’accompagner les jeunes musiciens au début de leur carrière. Depuis sa création, 120 instrumentistes ou compositeurs sont passés par là, dont quelques-uns des grands noms de la musique classique d’aujourd’hui : Renaud et Gauthier Capuçon, Laurent Korcia, le Quatuor Ebène ou Nemanja Radulovic pour ne citer qu’eux ! Année après année, le flambeau se passe entre les lauréats avec le même enthousiasme et la même exigence.
François Dumont, Xénia Maliarevitch, Julien Szulman, Matthieu Gauci, Jérémy Pasquier et Clara Zaoui n’en sont pas tout à fait à leurs débuts puisqu’ils sont déjà auréolés de nombreuses distinctions : ils ont tous obtenus un Premier Prix du CNSM de Paris, mais sont aussi lauréats du Concours Reine Elisabeth de Bruxelles, du Concours Long-Thibaud, du Concours Rampal… Leur jeune âge ne les empêche pas de se produire au Théâtre du Châtelet, à la salle Gaveau, à Radio-France ainsi que dans de nombreux festivals en France et à l’étranger. Pour ce concert, nos deux pianistes, violoniste, flûtiste, altiste et violoncelliste nous feront entendre quelques-uns des chefs d’œuvres de la musique de chambre : les Danses hongroises de Brahms s’entremêleront entre autre avec Mozart, Debussy, Beethoven pour conclure en apothéose avec le Quatuor de Schumann.
Les 6 jeunes artistes de ce soir conjuguent leur talent, dialoguent avec une évidence certaine et s’unissent pour une belle fête de la musique classique !
François Dumont (piano)
Julien Szulman (violon)
Jérémy Pasquier (alto)
Xania Maliarevitch (piano)
Clara Zaoui (violoncelle)
Matthieu Gauci (flûte)
Ils sont tous issus de la Fondation Groupe Banque Populaire, dont la vocation est d’accompagner les jeunes musiciens au début de leur carrière. Depuis sa création, 120 instrumentistes ou compositeurs sont passés par là, dont quelques-uns des grands noms de la musique classique d’aujourd’hui : Renaud et Gauthier Capuçon, Laurent Korcia, le Quatuor Ebène ou Nemanja Radulovic pour ne citer qu’eux ! Année après année, le flambeau se passe entre les lauréats avec le même enthousiasme et la même exigence.
François Dumont, Xénia Maliarevitch, Julien Szulman, Matthieu Gauci, Jérémy Pasquier et Clara Zaoui n’en sont pas tout à fait à leurs débuts puisqu’ils sont déjà auréolés de nombreuses distinctions : ils ont tous obtenus un Premier Prix du CNSM de Paris, mais sont aussi lauréats du Concours Reine Elisabeth de Bruxelles, du Concours Long-Thibaud, du Concours Rampal… Leur jeune âge ne les empêche pas de se produire au Théâtre du Châtelet, à la salle Gaveau, à Radio-France ainsi que dans de nombreux festivals en France et à l’étranger. Pour ce concert, nos deux pianistes, violoniste, flûtiste, altiste et violoncelliste nous feront entendre quelques-uns des chefs d’œuvres de la musique de chambre : les Danses hongroises de Brahms s’entremêleront entre autre avec Mozart, Debussy, Beethoven pour conclure en apothéose avec le Quatuor de Schumann.
Les 6 jeunes artistes de ce soir conjuguent leur talent, dialoguent avec une évidence certaine et s’unissent pour une belle fête de la musique classique !
François Dumont (piano)
Julien Szulman (violon)
Jérémy Pasquier (alto)
Xania Maliarevitch (piano)
Clara Zaoui (violoncelle)
Matthieu Gauci (flûte)
jeudi 30 juillet 20h30. Quintette à vent Arte Combo / La musique fait son cinéma ! Eglise – TOURS EN SAVOIE (73790)
On le sait bien : les films cultes sont généralement accompagnés de bandes son aux mélodies « tubesques » qui ont fortement participé à leur succès. Le cinéma est en effet grand producteur de p’tits airs de je n’sais quoi, ces quelques notes qui nous suivent quand la séance est terminée, ressurgissant à tout bout d’champ ou à brûle pourpoint. Qui n’a jamais eu en caboche ces quelques mesures émergeant des tréfonds de nos mémoires de cinéphiles, fredonnées ou chantées à tue tête selon l’humeur du moment ? Manon des sources, Jean de Florette, La Liste de Schindler, Out of Africa, James Bond, Les Demoiselles de Rochefort…
Peu d’entre nous savent qu’il s’agit parfois de grandes œuvres du répertoire classique, de Verdi, Wagner, Mozart, Bach… Pour cette soirée, ces derniers côtoient des spécialistes du genre comme Michel Legrand, John Williams ou encore Ennio Morricone, compositeur bien connu du Quintette Arte Combo qui a eu le privilège de jouer au Festival de Cannes lors d’une soirée organisée en son honneur. Arte Combo s’est également produit au Festival de musique de films d’Auxerre mais aussi pour le Centenaire de la musique de film à la Cité de la Musique et dans la Cour du Palais de l’Elysée. Talentueux et enthousiastes, ces cinq jeunes artistes bousculent le déroulement du concert en nous proposant un quizz musical autour des musiques de film en 2ème partie de soirée : à vos buzzers !
Les yeux écarquillés et les oreilles attentives, l’air de rien et sans en avoir l’air, préparez-vous à repartir de ce concert avec un p’tit air qui ne vous lâchera plus…
Mayu Sato-Brémaud (flûte)
Baptiste Gibier (hautbois)
Annelise Clément (clarinette)
Cyril Normand (cor)
Frank Sibold (basson)
Peu d’entre nous savent qu’il s’agit parfois de grandes œuvres du répertoire classique, de Verdi, Wagner, Mozart, Bach… Pour cette soirée, ces derniers côtoient des spécialistes du genre comme Michel Legrand, John Williams ou encore Ennio Morricone, compositeur bien connu du Quintette Arte Combo qui a eu le privilège de jouer au Festival de Cannes lors d’une soirée organisée en son honneur. Arte Combo s’est également produit au Festival de musique de films d’Auxerre mais aussi pour le Centenaire de la musique de film à la Cité de la Musique et dans la Cour du Palais de l’Elysée. Talentueux et enthousiastes, ces cinq jeunes artistes bousculent le déroulement du concert en nous proposant un quizz musical autour des musiques de film en 2ème partie de soirée : à vos buzzers !
Les yeux écarquillés et les oreilles attentives, l’air de rien et sans en avoir l’air, préparez-vous à repartir de ce concert avec un p’tit air qui ne vous lâchera plus…
Mayu Sato-Brémaud (flûte)
Baptiste Gibier (hautbois)
Annelise Clément (clarinette)
Cyril Normand (cor)
Frank Sibold (basson)
dimanche 02 août 21h00. Amélie-les-Crayons / Le porte-crayons. Esplanade de la Grande Roche – Albertville Conflans (73200)
Chaque année, les Rencontres Musicales – SAVOIE proposent en clôture de festival une soirée un peu à part du reste de sa programmation. 2009 n’échappe pas à la règle avec comme mots d’ordre magie, poésie et bonne humeur !
Il était une fois Amélie les Crayons, une fille qui colore les notes de musique et aime à croquer son époque sans détours ! Apparue sur la scène chanson en 2002, elle obtient 2 ans plus tard un succès retentissant au Printemps de Bourges et au festival Alors chante de Montauban. Après 4 années de tournée en France, Suisse, Belgique, Finlande et Québec, elle fait une petite pause pour écrire et revient sur scène en 2007 avec un nouveau spectacle et un nouvel album - « Le Porte Plume » - qui recueille le Grand Prix de l’Académie Charles Cros, FFFF de Télérama, un Chœur Chorus et un séjour de 13 semaines dans le Top 200 Ifop.
Avec ses historiettes loufoques, tour à tour elle nous séduit, nous distrait ou nous charme à travers le rire, l’ironie ou la mélancolie de ses textes. Accompagnée de ses musiciens complices, guitariste, flûtiste, pianiste ou percussionniste, Amélie les Crayons possède ce talent de griser son public en l’entraînant dans le tourbillon de sa vie. Il est tout simplement impossible de résister à son charme et à l’originalité de son spectacle « Le Porte Crayon ».
Une artiste véritablement à part, à découvrir avant qu’elle ne devienne incontournable !
Il était une fois Amélie les Crayons, une fille qui colore les notes de musique et aime à croquer son époque sans détours ! Apparue sur la scène chanson en 2002, elle obtient 2 ans plus tard un succès retentissant au Printemps de Bourges et au festival Alors chante de Montauban. Après 4 années de tournée en France, Suisse, Belgique, Finlande et Québec, elle fait une petite pause pour écrire et revient sur scène en 2007 avec un nouveau spectacle et un nouvel album - « Le Porte Plume » - qui recueille le Grand Prix de l’Académie Charles Cros, FFFF de Télérama, un Chœur Chorus et un séjour de 13 semaines dans le Top 200 Ifop.
Avec ses historiettes loufoques, tour à tour elle nous séduit, nous distrait ou nous charme à travers le rire, l’ironie ou la mélancolie de ses textes. Accompagnée de ses musiciens complices, guitariste, flûtiste, pianiste ou percussionniste, Amélie les Crayons possède ce talent de griser son public en l’entraînant dans le tourbillon de sa vie. Il est tout simplement impossible de résister à son charme et à l’originalité de son spectacle « Le Porte Crayon ».
Une artiste véritablement à part, à découvrir avant qu’elle ne devienne incontournable !