Stabat Mater de Dvorák par l'Ensemble Vocal d'Arles le 19 novembre 2011 à Roquevaire (13)
Ensemble Vocal d'arles /direction : Pascal Stutzmann avec l'orchestre "Mare Nostrum". 60 Choristes, 27 musiciens, 4 solistes: Blandine Arbel,soprano, Sylvie Hermans, Mezzo-soprano, Samuel Oddos, Ténor, Thomas Belaman,Basse.
Peu connu en dehors de son pays d'origine, le Stabat Mater va contribuer à faire connaître l'auteur sur la scène mondiale. Elle est dédicacée à un ami d'enfance du musicien. Elle est sa première œuvre sacrée (à part une messe de jeunesse qui a été perdue) et est intimement liée à la tragédie familiale qui frappe Dvorák. Le 21septembre 1875 sa fille nouveau-née Josefa meurt. En réaction à ce deuil, Dvorák compose une première version de l'œuvre entre le 19 février et le 7 mai 1876. Cette version est confiée aux solistes, chœurs et piano. Dvorák met l'œuvre de côté sans aborder l'orchestration ni qu'elle soit jouée.
Dvorák perd ses deux autres enfants à quelques semaines d'intervalle fin 1877. Il reprend le manuscrit abandonné l'année précédente. Il rajoute trois mouvements (numéros 5, 6 et 7) et instrumente l'œuvre entre octobre et novembre 1877. La version définitive (1877) est donc pour orchestre, solistes (soprano, ténor, alto et basse) et chœurs également à 4 parties.
Le compositeur suit fidèlement la séquence du XIIIe siècle de Jacopo da Todi. Il a dépassé sa propre souffrance pour donner une œuvre empreinte d'émotion confiée plus aux voix qu'à l'orchestre, mais jaillissante et spontanée même dans l'affliction atteignant ainsi une grandeur universelle.
L'Eglise Saint Vincent du XVIIIe siècle, véritable basilique de 2300m2, réunit le grand Orgue personnel de Pierre Cochereau, ancien titulaire des Grandes orgues de Notre-Dame de Paris, les jeux de l'orgue de l'église de Roquevaire et 72 nouveaux jeux, totalisant près de 5 000 tuyaux. Sa palette sonore en fait l'un des meilleurs instruments au monde. Le Festival International d'Orgue a lieu chaque année vers la mi-septembre. Concerts et récitals sur l'instrument considéré comme l'un des plus importants de France.
Concert en l'Eglise St Vincent à ROQUEVAIRE (13) 19/11/2011 à 20h30
Peu connu en dehors de son pays d'origine, le Stabat Mater va contribuer à faire connaître l'auteur sur la scène mondiale. Elle est dédicacée à un ami d'enfance du musicien. Elle est sa première œuvre sacrée (à part une messe de jeunesse qui a été perdue) et est intimement liée à la tragédie familiale qui frappe Dvorák. Le 21septembre 1875 sa fille nouveau-née Josefa meurt. En réaction à ce deuil, Dvorák compose une première version de l'œuvre entre le 19 février et le 7 mai 1876. Cette version est confiée aux solistes, chœurs et piano. Dvorák met l'œuvre de côté sans aborder l'orchestration ni qu'elle soit jouée.
Dvorák perd ses deux autres enfants à quelques semaines d'intervalle fin 1877. Il reprend le manuscrit abandonné l'année précédente. Il rajoute trois mouvements (numéros 5, 6 et 7) et instrumente l'œuvre entre octobre et novembre 1877. La version définitive (1877) est donc pour orchestre, solistes (soprano, ténor, alto et basse) et chœurs également à 4 parties.
Le compositeur suit fidèlement la séquence du XIIIe siècle de Jacopo da Todi. Il a dépassé sa propre souffrance pour donner une œuvre empreinte d'émotion confiée plus aux voix qu'à l'orchestre, mais jaillissante et spontanée même dans l'affliction atteignant ainsi une grandeur universelle.
L'Eglise Saint Vincent du XVIIIe siècle, véritable basilique de 2300m2, réunit le grand Orgue personnel de Pierre Cochereau, ancien titulaire des Grandes orgues de Notre-Dame de Paris, les jeux de l'orgue de l'église de Roquevaire et 72 nouveaux jeux, totalisant près de 5 000 tuyaux. Sa palette sonore en fait l'un des meilleurs instruments au monde. Le Festival International d'Orgue a lieu chaque année vers la mi-septembre. Concerts et récitals sur l'instrument considéré comme l'un des plus importants de France.
Concert en l'Eglise St Vincent à ROQUEVAIRE (13) 19/11/2011 à 20h30
Genève, Victoria Hall : Nikolay Khozyainov, piano. Mercredi 5 juin 2024 à 19h30
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