Spectrographie est le fruit d’un dialogue entre trois artistes, Anna Barseghian & Stefan Kristensen et Uriel Orlow, et de leur séjour commun au sud-est de la Turquie.
Explorant la mémoire et les cicatrices de l’histoire arménienne, l’exposition donne à voir la présence immémoriale des disparus dans les lieux visités, à travers une relation inédite et inouïe avec leurs habitants. L’exposition débute avec l’installa(on vidéo Aucune voix ne se perd, centrée sur la figure d’une jeune résistante arménienne, Gülizar.
Elle se poursuit avec le film Terzili, rencontre avec les villageois de ce hameau d’Anatolie centrale. Une série d’images photographiques rend ensuite visibles les traces de la présence arménienne dans le paysage et l’architecture actuels. Enfin, les films Holy Precursor et Precursors of the Past reviennent sur le présent de Mouch et d’un ancien monastère arménien, Sourp Garabed.
Au fil des oeuvres apparaissent des mémoires particulières, personnelles, indissociables de l’histoire. Des mémoires intempes(ves qui surgissent au détour d’un chemin, au flanc d’une montagne, dans l’éclat d’un visage. Les artistes en interrogent la portée, les limites, les contradictions, mais travaillent également sur les formes que ces mémoires prennent, jusque dans leurs absences.
L’exposition est issue d’une coproduction entre le Théâtre Saint-Gervais à Genève et l’association Utopiana. Elle est proposée à l’occasion du festival Ambivalence(s), qui a lieu du 23 au 29 mai 2013 sur le territoire de Valence Agglo Sud Rhône-Alpes.
Explorant la mémoire et les cicatrices de l’histoire arménienne, l’exposition donne à voir la présence immémoriale des disparus dans les lieux visités, à travers une relation inédite et inouïe avec leurs habitants. L’exposition débute avec l’installa(on vidéo Aucune voix ne se perd, centrée sur la figure d’une jeune résistante arménienne, Gülizar.
Elle se poursuit avec le film Terzili, rencontre avec les villageois de ce hameau d’Anatolie centrale. Une série d’images photographiques rend ensuite visibles les traces de la présence arménienne dans le paysage et l’architecture actuels. Enfin, les films Holy Precursor et Precursors of the Past reviennent sur le présent de Mouch et d’un ancien monastère arménien, Sourp Garabed.
Au fil des oeuvres apparaissent des mémoires particulières, personnelles, indissociables de l’histoire. Des mémoires intempes(ves qui surgissent au détour d’un chemin, au flanc d’une montagne, dans l’éclat d’un visage. Les artistes en interrogent la portée, les limites, les contradictions, mais travaillent également sur les formes que ces mémoires prennent, jusque dans leurs absences.
L’exposition est issue d’une coproduction entre le Théâtre Saint-Gervais à Genève et l’association Utopiana. Elle est proposée à l’occasion du festival Ambivalence(s), qui a lieu du 23 au 29 mai 2013 sur le territoire de Valence Agglo Sud Rhône-Alpes.