Marc Desgranchamps, La Terrasse IV 2010 lithographie 50 x 65 cm
Parallèlement, elle développe la mise en place de résidences d’artistes avec d’autres galeries internationales et organise des rencontres thématiques à la galerie (philosophes, auteurs, critiques art contemporain, artistes…restant en lien avec l’exposition monographique en cours.) grâce à l’originalité de l’architecture de la maison-galerie conçue par Gilles Perraudin et la structure Lyonguesthouse à l’étage. Depuis 2009, les grandes foires internationales peuvent également compter sur sa présence (Slick Paris, Drawing now Paris, Art on Paper, Bruxelles, scope Basel…) Depuis 2010, la galerie peut se prévaloir d'un statut d'éditeur et élabore à chaque exposition un cahier de Crimée d'une trentaine de pages, ainsi qu'une monographie d'un artiste de la galerie chaque année.
Sous le soleil exactement
C’est le titre de cette exposition de rentrée emprunté à Serge Gainsbourg, génial chanteur qui vénérait Francis Bacon avec lequel il partageait un goût pour le sublime aux singulières et superbes distorsions. Sur nous tous, il y a le soleil, cet astre jaloux et généreux suspendu sur nos incertitudes, nos attentes et nos vies. Sous le soleil, le monde et ses faces multiples où bonheurs et tragédies se succèdent sans trêve. Les sept artistes présentés dans l’exposition, une photographe et six peintres, témoignent d’un apparent penchant pour un certain hédonisme, presque toujours tempéré parle soupçon d’une réalité moins solaire.
Cette exposition rend hommage à Dolorès Marat, photographe de grand renom, née à paris en 1944. Une place privilégiée lui est accordée dans la galerie, en écho aux Rencontres Photographiques de Septembre (9PH). Engagée depuis quelques années dans des périples sur les pourtours méditerranéens, elle porte un regard puissant sur le monde, avec des images fortes et bouleversantes de paysages écrasés par les rayonnements solaires. Elle questionne la lutte continue entre la civilisation et ses confins, la ville et le désert qui gagne inexorablement.
Il y a quelque chose de réjouissant dans les scènes de Daniel Clarke : des êtres jouent, se baignent se reposent souvent sur une plage ou dans un jardin. Ces moments privilégiés peints avec virtuosité, ne sont pas idéalisés ni magnifiés. Ils sont la marque sensible d’une vie où la mémoire du drame se tient aux aguets.
Marc Desgrandchamps peint également des scènes de plages qui semblent des instants d’un bonheur suspendu. Des êtres et un monde en sursis voués à jouer le jeu de la vie avec une espérance « pleine d’immortalité ».
Nul besoin de présenter Jim Dine : son nom s’apprend dans les livres d’histoire aux côtés d’Andy Warhol, Jasper Jones ou encore Wilhelm de Kooning. Ses peintures de coeurs sont un chant à la vie simple et joyeuse.
Les peintures de petit format sur papier de Clément Montolio sont tirées d’une série inspirée par la représentation de la féminité dans les magazines au support glacé. Comment perturber ces images tout aussi glacées et tenter de leur donner l’énergie qu’elles promettent, est au coeur de ses préoccupations. Des corps déstructurés, des parures de plages plus vivantes que la chair se livrent à une danse de Ménades sous la lumière du plein soleil.
Les tableaux de Jacques Migayrou explorent la figuration. Les thèmes se déclinent entre sensualité et peinture d’âme. Les toiles sont souvent habitées par un contraste, une dualité, révélés ici dans les deux toiles exposées. Dans l’une par la violence du soleil sur certaines parties du corps, dans l’autre, par le rapport entre un corps papier glacé et les passions qui se nouent à l’intérieur.
Daniel Tillier se replonge dans l’exploration de la photographie, inspiré par le soleil, et nous donne à voir une installation sur le thème de la Libération. Des dessins et peintures seront également en consultation sur rendez vous.
Cette exposition rend hommage à Dolorès Marat, photographe de grand renom, née à paris en 1944. Une place privilégiée lui est accordée dans la galerie, en écho aux Rencontres Photographiques de Septembre (9PH). Engagée depuis quelques années dans des périples sur les pourtours méditerranéens, elle porte un regard puissant sur le monde, avec des images fortes et bouleversantes de paysages écrasés par les rayonnements solaires. Elle questionne la lutte continue entre la civilisation et ses confins, la ville et le désert qui gagne inexorablement.
Il y a quelque chose de réjouissant dans les scènes de Daniel Clarke : des êtres jouent, se baignent se reposent souvent sur une plage ou dans un jardin. Ces moments privilégiés peints avec virtuosité, ne sont pas idéalisés ni magnifiés. Ils sont la marque sensible d’une vie où la mémoire du drame se tient aux aguets.
Marc Desgrandchamps peint également des scènes de plages qui semblent des instants d’un bonheur suspendu. Des êtres et un monde en sursis voués à jouer le jeu de la vie avec une espérance « pleine d’immortalité ».
Nul besoin de présenter Jim Dine : son nom s’apprend dans les livres d’histoire aux côtés d’Andy Warhol, Jasper Jones ou encore Wilhelm de Kooning. Ses peintures de coeurs sont un chant à la vie simple et joyeuse.
Les peintures de petit format sur papier de Clément Montolio sont tirées d’une série inspirée par la représentation de la féminité dans les magazines au support glacé. Comment perturber ces images tout aussi glacées et tenter de leur donner l’énergie qu’elles promettent, est au coeur de ses préoccupations. Des corps déstructurés, des parures de plages plus vivantes que la chair se livrent à une danse de Ménades sous la lumière du plein soleil.
Les tableaux de Jacques Migayrou explorent la figuration. Les thèmes se déclinent entre sensualité et peinture d’âme. Les toiles sont souvent habitées par un contraste, une dualité, révélés ici dans les deux toiles exposées. Dans l’une par la violence du soleil sur certaines parties du corps, dans l’autre, par le rapport entre un corps papier glacé et les passions qui se nouent à l’intérieur.
Daniel Tillier se replonge dans l’exploration de la photographie, inspiré par le soleil, et nous donne à voir une installation sur le thème de la Libération. Des dessins et peintures seront également en consultation sur rendez vous.
Pratique
Galerie Françoise Besson
10 rue de Crimée
69001 LYON
galeriefrancoisebesson@gmail.com
www.francoisebesson.com
06 07 37 45 32 / 04 78 30 54 72
Métro C Croix-Rousse ( A 1 min. du bd de la Croix-Rousse)
Bus Ligne C3 hôtel de Ville
Du mercredi au samedi de 14h30 à 19h et tous les jours sur RDV.
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Du mercredi au samedi de 14h30 à 19h et tous les jours sur RDV.