Cet été, les promeneurs de l’esplanade Pantiero du Port de Cannes ont rendez-vous avec des animaux atypiques. En effet, les œuvres de l’artiste Serge Van De Put, sculpteur reconnu à travers le monde pour ses animaux sauvages, domestiques ou disparus (gorilles, chats, éléphants et dinosaures) et réalisés à partir de pneus sont exposées et accessibles aux résidents cannois et aux touristes jusqu’au 24 août qui découvrent le temps d’une promenade ses gorilles et chats.
Serge Van de Put transforme un objet usuel en substance d’art pour la joie et l’étonnement du public.
A découvrir jusqu’au 24 août sur l’esplanade Pantiero du Port de Cannes : des gorilles et des chats pas comme les autres !
A propos de l’artiste :
Serge Van de Put est un artiste belge né à Anvers en 1958.
A travers ses voyages, Serge découvre l’ingéniosité des Africains, qui donnent une deuxième vie au pneu, un matériau indestructible dont ils se servent pour fabriquer des seaux, des chaussures, etc.
Après avoir créé sa propre agence de publicité durant plusieurs années, Serge s’amuse avec cette matière à réaliser le portrait d’un Africain. Séduit par l’idée de transformer un objet usuel en fin de vie en substance d’art, Serge se met sérieusement au travail et s’attaque à des œuvres plus conséquentes.
Comme la terre pour un sculpteur classique, il effectue un travail de modelage. Sous l’apparence d’un travail ludique se manifeste un assemblage d’une grande maîtrise où rien n’est laissé au hasard. Chaque pièce est choisie pour sa texture, entraînant l’œuvre dans un mouvement voulu, insufflant ainsi une âme à ses créations.
Vite remarqué par le monde de l’art, l’artiste enchaîne les expositions à travers l’Europe et sa notoriété lui permet de créer des œuvres de plus en plus imposantes. En 2009, il réalise un éléphant grandeur nature exposé à la Biennale de Venise, qui fait aujourd’hui partie de la collection de la Fondation d’Art Américaine du «Château de la Napoule ». En 2012, un dinosaure de 10 mètres de long est acquis par l’association des musées de Gènes pour le port.
L’artiste face à ses peurs, tel une proie face à cette énorme bête agressive. Réalisant que les chiens avaient la vedette dans son œuvre, Serge justifie sa préférence par le fait que les chats lui inspirent plutôt de la peur.
Les gorilles mis en cage par les hommes :
Serge Van de Put souhaite que le public prenne conscience de l’urgence de protéger les gorilles, afin que les derniers gorilles observés ne soient pas ceux réalisé par ses soins.
S’ils sont mis en cage, c’est à nouveau pour les protéger de l’Homme ! De plus, les dégradations des œuvres en milieux urbains obligent les organisateurs à enfermer ses œuvres qui sont originellement faites pour être touchées.
Plus d’informations sur : www.fgfineart.com ou + 33 6 11 19 56 87.
Serge Van de Put transforme un objet usuel en substance d’art pour la joie et l’étonnement du public.
A découvrir jusqu’au 24 août sur l’esplanade Pantiero du Port de Cannes : des gorilles et des chats pas comme les autres !
A propos de l’artiste :
Serge Van de Put est un artiste belge né à Anvers en 1958.
A travers ses voyages, Serge découvre l’ingéniosité des Africains, qui donnent une deuxième vie au pneu, un matériau indestructible dont ils se servent pour fabriquer des seaux, des chaussures, etc.
Après avoir créé sa propre agence de publicité durant plusieurs années, Serge s’amuse avec cette matière à réaliser le portrait d’un Africain. Séduit par l’idée de transformer un objet usuel en fin de vie en substance d’art, Serge se met sérieusement au travail et s’attaque à des œuvres plus conséquentes.
Comme la terre pour un sculpteur classique, il effectue un travail de modelage. Sous l’apparence d’un travail ludique se manifeste un assemblage d’une grande maîtrise où rien n’est laissé au hasard. Chaque pièce est choisie pour sa texture, entraînant l’œuvre dans un mouvement voulu, insufflant ainsi une âme à ses créations.
Vite remarqué par le monde de l’art, l’artiste enchaîne les expositions à travers l’Europe et sa notoriété lui permet de créer des œuvres de plus en plus imposantes. En 2009, il réalise un éléphant grandeur nature exposé à la Biennale de Venise, qui fait aujourd’hui partie de la collection de la Fondation d’Art Américaine du «Château de la Napoule ». En 2012, un dinosaure de 10 mètres de long est acquis par l’association des musées de Gènes pour le port.
L’artiste face à ses peurs, tel une proie face à cette énorme bête agressive. Réalisant que les chiens avaient la vedette dans son œuvre, Serge justifie sa préférence par le fait que les chats lui inspirent plutôt de la peur.
Les gorilles mis en cage par les hommes :
Serge Van de Put souhaite que le public prenne conscience de l’urgence de protéger les gorilles, afin que les derniers gorilles observés ne soient pas ceux réalisé par ses soins.
S’ils sont mis en cage, c’est à nouveau pour les protéger de l’Homme ! De plus, les dégradations des œuvres en milieux urbains obligent les organisateurs à enfermer ses œuvres qui sont originellement faites pour être touchées.
Plus d’informations sur : www.fgfineart.com ou + 33 6 11 19 56 87.