Une exposition en mouvement – Présentation d’œuvres inédites
Créée au Centre Pompidou Metz en 2011, l’exposition est pensée et conçue comme un véritable work in progress.
Le commissaire s’explique : « Au commencement de ce projet, qui ne comportait qu’une dizaine d’œuvres, j’ai senti et compris qu’il y avait dans cette perspective esthétique et « didactique », en quelque sorte, une possibilité de revisiter une partie de l’histoire de l’art moderne et contemporain, en s’interrogeant sur l’esprit et la matérialité des œuvres. Emblématiques, elles ont alimenté notre imaginaire et notre propre plaisir visuel de l’art en général. Colosimo s’est placé dans la peau d’un enfant essayant de comprendre les références historiques tout en injectant son propre imaginaire ludique et un certain humour « post-post-moderniste » ! Vue sous cet angle, la proposition était une première ! Je l’ai donc poussé à réaliser de nouvelles créations. »
Ainsi l’artiste a continué d’explorer les champs de l’histoire de l’art, en s’appropriant et en réinterprétant des œuvres emblématiques des XXe et XXIe siècles, telles que celles de Duchamp, Baselitz, Gino De Dominicis, Marcel Broodthaers, Daniel Buren, Piero Manzoni, Jannis Kounellis, Joseph Beuys, Maurizio Cattelan, Jeff Koons, Damien Hirst, Jan Fabre, Giulio Paolini, Yves Klein, Arman, Sol LeWitt…
Cinq nouvelles œuvres font leur apparition à La Sucrière en hommage à Luciano Fabro, Dinos & Jack Chapman, Richard Serra, Francesco Clemente, Jean-Michel Basquiat, Julian Schnabel…
Le commissaire s’explique : « Au commencement de ce projet, qui ne comportait qu’une dizaine d’œuvres, j’ai senti et compris qu’il y avait dans cette perspective esthétique et « didactique », en quelque sorte, une possibilité de revisiter une partie de l’histoire de l’art moderne et contemporain, en s’interrogeant sur l’esprit et la matérialité des œuvres. Emblématiques, elles ont alimenté notre imaginaire et notre propre plaisir visuel de l’art en général. Colosimo s’est placé dans la peau d’un enfant essayant de comprendre les références historiques tout en injectant son propre imaginaire ludique et un certain humour « post-post-moderniste » ! Vue sous cet angle, la proposition était une première ! Je l’ai donc poussé à réaliser de nouvelles créations. »
Ainsi l’artiste a continué d’explorer les champs de l’histoire de l’art, en s’appropriant et en réinterprétant des œuvres emblématiques des XXe et XXIe siècles, telles que celles de Duchamp, Baselitz, Gino De Dominicis, Marcel Broodthaers, Daniel Buren, Piero Manzoni, Jannis Kounellis, Joseph Beuys, Maurizio Cattelan, Jeff Koons, Damien Hirst, Jan Fabre, Giulio Paolini, Yves Klein, Arman, Sol LeWitt…
Cinq nouvelles œuvres font leur apparition à La Sucrière en hommage à Luciano Fabro, Dinos & Jack Chapman, Richard Serra, Francesco Clemente, Jean-Michel Basquiat, Julian Schnabel…
Une médiation pour tous les publics
Cette exposition invite le public, jeunes et adultes, à s’approprier les œuvres revisitées et tout particulièrement les œuvres en référence à Sol LeWitt, Felix Gonzalez Torres ou Tino Sehgal…
Des images, des sculptures et des installations extrêmement ludiques révéleront leurs caractères insolites et décalés.
La recontextualisation de ces œuvres et de ces artistes invite le visiteur à une initiation de l’histoire récente de l’art (1950 – 2012) ainsi qu’à une véritable stimulation de son imaginaire. Gianni Colosimo nous explique : « En pratique, mon intervention artistique consiste à donner une nouvelle vision de l’œuvre d’art dans laquelle l’enfant peut s’impliquer d’une manière ludique, en l’interprétant par son propre raisonnement. Les œuvres originales de référence sont des déclencheurs. Certaines d’entre elles ont été imaginées par les grands maîtres de l’art contemporain. Cette exposition s’adresse à tous les publics, elle permet d’entrer dans le merveilleux et parfois un peu « obscur » univers de l’art contemporain ».
L’exposition « L’art contemporain raconté aux enfants » s’apparente ainsi à un « conte », à une « fable », où le spectateur peut entrer avec le regard émerveillé d’un enfant, tout en découvrant quelques grands thèmes portés par les artistes d’aujourd’hui. En réinterprétant ces thèmes en divers épisodes, le visiteur plonge dans un feuilleton artistique ; un écho aux propos de Gino De Dominicis : «C’est le public qui s’expose à l’art et non l’inverse.».
Patrick Amine, commissaire d’exposition
Des images, des sculptures et des installations extrêmement ludiques révéleront leurs caractères insolites et décalés.
La recontextualisation de ces œuvres et de ces artistes invite le visiteur à une initiation de l’histoire récente de l’art (1950 – 2012) ainsi qu’à une véritable stimulation de son imaginaire. Gianni Colosimo nous explique : « En pratique, mon intervention artistique consiste à donner une nouvelle vision de l’œuvre d’art dans laquelle l’enfant peut s’impliquer d’une manière ludique, en l’interprétant par son propre raisonnement. Les œuvres originales de référence sont des déclencheurs. Certaines d’entre elles ont été imaginées par les grands maîtres de l’art contemporain. Cette exposition s’adresse à tous les publics, elle permet d’entrer dans le merveilleux et parfois un peu « obscur » univers de l’art contemporain ».
L’exposition « L’art contemporain raconté aux enfants » s’apparente ainsi à un « conte », à une « fable », où le spectateur peut entrer avec le regard émerveillé d’un enfant, tout en découvrant quelques grands thèmes portés par les artistes d’aujourd’hui. En réinterprétant ces thèmes en divers épisodes, le visiteur plonge dans un feuilleton artistique ; un écho aux propos de Gino De Dominicis : «C’est le public qui s’expose à l’art et non l’inverse.».
Patrick Amine, commissaire d’exposition