La beauté du difforme et le monstrueux. L'Ange de la connaissance

Un lieu circulaire, ponctué de textes indéchiffrables, d’autoportraits de l’artiste métamorphosé en insecte, de corps calcinés réduits en cendres, de peintures pelliculaires (fragment de peaux et de carapaces) et de dessins informes pour exprimer un cycle sans fin : celui de la vie et de la mort. Où la mort ne serait pas envisagée comme une fin en soi, mais plutôt comme le début d’un commencement. Voir au-delà de la roche que l’on palpe et de la terre qui s’étend devant notre regard. Traverser, descendre dans les strates pour accéder à l’essence même de la connaissance, pour enfin savoir et comprendre le sens de la vie. Rechercher la source lumineuse dans les profondeurs pour toucher au but ultime à travers des visions syncopées, instables, étranges.
Tel est l’enjeu de l’installation présentée dans l’espace d’exposition du collège de Gréasque par le
couple d’artistes Philippe Chitarrini, Nathalie Pargoire.
Réalisation d’une vidéo-performance.
Réinvestir le mythe de Daphné pétrifiée en Laurier. Une renaissance qui passe par le souffle vital qui la métamorphose : entre l’humain et le végétal, un cri silencieux dans la représentation, à la fois monstrueux et médusant.
Collège Gréasque
Avenue de l'ancienne gare
13850 Gréasque
Tel est l’enjeu de l’installation présentée dans l’espace d’exposition du collège de Gréasque par le
couple d’artistes Philippe Chitarrini, Nathalie Pargoire.
Réalisation d’une vidéo-performance.
Réinvestir le mythe de Daphné pétrifiée en Laurier. Une renaissance qui passe par le souffle vital qui la métamorphose : entre l’humain et le végétal, un cri silencieux dans la représentation, à la fois monstrueux et médusant.
Collège Gréasque
Avenue de l'ancienne gare
13850 Gréasque