Arnaud Franc, « Emancipation », 2012
« Je suis la forme.
La ligne qui passe et m’enveloppe de tout son geste précipite mes contours et soulève des débordements fébriles. C’est en dansant quelle trouve appui au nœud des émotions et glisse jusqu’à embrasser la forme.
Compulsif, je pourrais dans la gravité chercher à démêler l’essence, le souffle ou le sens qui induit l’identité ; Ce dessin issu de l’attraction terrestre révèle l’ordre indicible des affections ». Arnaud Franc
Un émerveillement de la chair…
« Le corps que l’artiste aborde est un mélange de grâce et d’épaisseur, de légèreté et de pesanteur. Un travail à l’énergie très graphique, portée par un trait qui n’hésite pas à déformer les proportions, à suggérer la tension du modèle, sa résistance physique, mais aussi à retranscrire la liberté d’un mouvement, la fraicheur d’une vision, un émerveillement de la chair… S’installe ainsi un jeu plastique où le vide, l’espace mettent en valeur cette chorégraphie sauvage et dépouillée, ces corps partagés entre beauté et outrance, vérité intérieure de l’artiste et âpre distorsion de la figure humaine. » Serge Hartmann les DNA Strasbourg
La ligne qui passe et m’enveloppe de tout son geste précipite mes contours et soulève des débordements fébriles. C’est en dansant quelle trouve appui au nœud des émotions et glisse jusqu’à embrasser la forme.
Compulsif, je pourrais dans la gravité chercher à démêler l’essence, le souffle ou le sens qui induit l’identité ; Ce dessin issu de l’attraction terrestre révèle l’ordre indicible des affections ». Arnaud Franc
Un émerveillement de la chair…
« Le corps que l’artiste aborde est un mélange de grâce et d’épaisseur, de légèreté et de pesanteur. Un travail à l’énergie très graphique, portée par un trait qui n’hésite pas à déformer les proportions, à suggérer la tension du modèle, sa résistance physique, mais aussi à retranscrire la liberté d’un mouvement, la fraicheur d’une vision, un émerveillement de la chair… S’installe ainsi un jeu plastique où le vide, l’espace mettent en valeur cette chorégraphie sauvage et dépouillée, ces corps partagés entre beauté et outrance, vérité intérieure de l’artiste et âpre distorsion de la figure humaine. » Serge Hartmann les DNA Strasbourg