Sylvie Maurice, Les Graines (graine ronde), 2000. 20 x 25 x 25 cm, sculpture en zinc soudé à l’étain. © LE CAP et Sylvie Maurice. Collection Artothèque / CAP de Saint-Fons
Andy Goldsworthy I Peter Hutchinson I Koo Jeong-A I Frédérique Lucien I Sylvie Maurice I Arno Rafael Minkkinen I Francis Morandini I François Morellet I Marielle Paul I Hervé Robillard I Rutger Ten Broëke I Yves Tremorin I Nils Udo I Beatrix von Conta
Le Fort du Bruissin, centre d’art contemporain de Francheville présente «du végétal dans l’art », une sélection d’oeuvres de 22 artistes du XXème siècle se confrontant à la nature.
En allant de l’étude quasi scientifique de la botanique jusqu’à la réflexion sur le naturel et sa représentation, ces artistes s’interrogent sur le rapport entre l’homme et la nature à travers différentes approches artistiques.
Le naturel est capable de nous offrir, une répétition minutieuse de gestes géométriques tout comme des prises de vues inattendues.
Ce sont différentes manières de réfléchir sur le rapport qui s’établit entre l’homme, la nature et l’art.
Que ce soit dans la maîtrise à travers la connaissance ou l’angoisse provoquée par le dépassement, elle nous laisse entrevoir la place de l’artiste - de l’homme. L’absence de la figure humaine dans la représentation artistique peut être justement une affirmation de son absolue présence.
Quand la nature est représentée, n’est-elle pas observée par l’homme en définitive ?...
«du végétal dans l’art» nous propose de parcourir ces différents points de vue.
L’exposition n’essaie pas de développer des thématiques, mais bien au contraire de construire un récit commun et d’élargir le regard du spectateur sur l’idée de la nature dans l’art.
L’exposition «du végétal dans l’art» bénéficie du partenariat avec les artothèques des Villes de Lyon, Grenoble, Villeurbanne, Saint-Fons, Francheville et de l’ADRA .
Le Fort du Bruissin, centre d’art contemporain de Francheville présente «du végétal dans l’art », une sélection d’oeuvres de 22 artistes du XXème siècle se confrontant à la nature.
En allant de l’étude quasi scientifique de la botanique jusqu’à la réflexion sur le naturel et sa représentation, ces artistes s’interrogent sur le rapport entre l’homme et la nature à travers différentes approches artistiques.
Le naturel est capable de nous offrir, une répétition minutieuse de gestes géométriques tout comme des prises de vues inattendues.
Ce sont différentes manières de réfléchir sur le rapport qui s’établit entre l’homme, la nature et l’art.
Que ce soit dans la maîtrise à travers la connaissance ou l’angoisse provoquée par le dépassement, elle nous laisse entrevoir la place de l’artiste - de l’homme. L’absence de la figure humaine dans la représentation artistique peut être justement une affirmation de son absolue présence.
Quand la nature est représentée, n’est-elle pas observée par l’homme en définitive ?...
«du végétal dans l’art» nous propose de parcourir ces différents points de vue.
L’exposition n’essaie pas de développer des thématiques, mais bien au contraire de construire un récit commun et d’élargir le regard du spectateur sur l’idée de la nature dans l’art.
L’exposition «du végétal dans l’art» bénéficie du partenariat avec les artothèques des Villes de Lyon, Grenoble, Villeurbanne, Saint-Fons, Francheville et de l’ADRA .
Le Fort du Bruissin
Le 2 septembre 1870, la défaite de Sedan oblige la France à réviser son système de défense et tout particulièrement sa frontière Est car elle a constaté que les Allemands ne se concentrent pas seulement sur les défenses ennemis mais usent désormais de canons tirant des projectiles explosifs à plus de 10 km qui touchent les populations. Le Général Séré de Rivières, appelé le «Vauban du XIXème siècle», est chargé de concevoir un nouveau système de défense qui doit protéger la frontière, la capitale et Lyon alors cité financière et industrielle importante. A Lyon, il construit une deuxième ceinture de forts qui dépasse désormais l’emprise de la ville, contrairement à la première ceinture datant de 1830. D’un tracé non-continu de 65 km, elle comprend 24 ouvrages détachés du centre qu’ils protègent. Le Fort du Bruissin chargé de défendre la zone ouest est aujourd’hui conservé et valorisé grâce à son acquisition par la Ville de Francheville. Il est le seul témoin réhabilité, ouvert toute l’année avec un projet de valorisation autour des thématiques de l’art, de la nature et du patrimoine sur le territoire de Grand Lyon. Il accueille depuis 2008 un centre d’art contemporain à la suite d’une réhabilitation en partenariat avec l’Etat, la Région Rhône-Alpes et le Département du Rhône. Le Fort du Bruissin est financé par la Ville de Francheville et la Région Rhône-Alpes.
Fort du Bruissin, centre d’art contemporain de Francheville
Chemin du Château d’eau
69340 Francheville
vendredi, samedi et dimanche de 14h à 18h - Entrée libre
Fort du Bruissin, centre d’art contemporain de Francheville
Chemin du Château d’eau
69340 Francheville
vendredi, samedi et dimanche de 14h à 18h - Entrée libre