Un musicien généreux qui adore partager sa passion toujours renouvelée pour ceux qu’il appelle ses amis, Bach, Mozart, Beethoven, Schubert, Debussy, Bartók… À travers ses improvisations d’exception, il offre au grand répertoire classique un nouveau souffle, une nouvelle écoute, renouant avec l’essence de la musique, la création. Une approche que n’auraient sûrement pas reniée ses célèbres amis, coutumiers du fait.
« Quand on improvise, il faut être à la fois à son affaire et ailleurs, comme dédoublé. Il faut guider, conduire, construire au moment même où l'on joue ; et en même temps lâcher prise, laisser quelque chose s'établir entre le soi de la surface et le soi des profondeurs. [...]
Quand j'improvise, je me raconte une histoire, surveillant (mais pas trop) les mélodies qui s'entrecroisent, les modulations qui s'installent, la transformation des rythmes et des phrases. Je suis là avec mes doigts, mes oreilles, mes rêves. Sans partition. Sans crainte du trou de mémoire. Ni de la fausse note. » Jean-François Zygel
« Quand on improvise, il faut être à la fois à son affaire et ailleurs, comme dédoublé. Il faut guider, conduire, construire au moment même où l'on joue ; et en même temps lâcher prise, laisser quelque chose s'établir entre le soi de la surface et le soi des profondeurs. [...]
Quand j'improvise, je me raconte une histoire, surveillant (mais pas trop) les mélodies qui s'entrecroisent, les modulations qui s'installent, la transformation des rythmes et des phrases. Je suis là avec mes doigts, mes oreilles, mes rêves. Sans partition. Sans crainte du trou de mémoire. Ni de la fausse note. » Jean-François Zygel


Carte blanche à Jean-François Zygel, le 27 avril 2016, Terrasse des Arts, Châteauneuf (06) à 20h

Saint Donat sur l'Herbasse, Collégiale : « A SWEET CHRISTMAS » par le Cœur Dulci Jubilo le 14 décembre 2025 à 17h
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