
Béatrice Helg - Equilibre-V - 2001
Influencée par l’avant-garde russe et le constructivisme, passionnée de musique, sensible aux notions d’espace et de temps, à l’architecture, à la mise en scène de théâtre et d’opéra, Béatrice Helg crée dans son atelier des installations où la sculpture, la peinture, la mise en scène et surtout la lumière interagissent.
Elle compose des installations à partir de matériaux de récupération ou de matières qu’elle imagine et façonne spécialement pour la prise de vue. La lumière devient ici le matériau essentiel. Elle est le médium par lequel toute révélation est possible.
Sculptures ou architectures éphémères, ses œuvres monumentales émergent des profondeurs du silence, elles dévoilent des univers d’ombre et de clarté d’une étrange beauté, aussi poétiques que spirituels.
On y pénètre et l’on s’y perd, entre l’éblouissement et le noir abyssal ! L’œuvre de Béatrice Helg ouvre sur un infini, sur une quête d’absolu ou la recherche d’un mystère intérieur..
Pour Béatrice Helg : « La photographie est une écriture de lumière - de l'obscur et de la lumière dans l'espace. Elle me permet d'explorer l'invisible, l'insoupçonné, l'espace du dedans.
C'est une autre manière d'appréhender, de questionner le réel, la vie, le monde. I...] Cette écriture, que je n'ai pas choisie, s'est très vite imposée à moi. Elle me donne la possibilité d'exprimer des sentiments, de transmettre des sensations, des pensées que je ne saurais évoquer par une photographie de la réalité, ou par des mots...
« Sentir la beauté, c’est donc participer à l’abstraction à travers un agent particulier.
En un sens, c’est un reflet de l’infini de la réalité. »
Mark Rothko, « La réalité de l’artiste », 2004
L’EXPOSITION
La plus vaste monographie jamais consacrée à l’œuvre de Béatrice Helg – présente dans une scénographie épurée un corpus de plus de 70 photographies.
Elle réunit des œuvres emblématiques et des créations inédites, principalement de grand format, issues des séries Théâtres de la lumière, Esprit froissé, Crépuscule, Éclats, Cosmos, Résonance ou Natura, réalisées au cours des 35 dernières années.
BÉATRICE HELG
Née à Genève en 1956, Béatrice Helg poursuit ses études de photographie en Californie, puis à New York, à l’International Center of Photography.
Près de 70 expositions personnelles ont été dédiées à son œuvre en Europe, aux Etats-Unis et au Japon parmi lesquelles une exposition au Palazzo Fortuny, Venise ; à l’IVAM – Institut Valencià d’Art Modern, Valence ; au Museum of Contemporary Photography, Chicago ; au Museum of Photographic Arts, San Diego ; ainsi qu’aux Rencontres d’Arles.
Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections renommées : musée Réattu, Arles ; la Bibliothèque nationale de France et la Maison européenne de la photographie, Paris ; Photo Élysée, Lausanne ; le Brooklyn Museum et l’International Center of Photography, New York ; le Los Angeles County Museum of Art et Museum of Fine Arts, Houston.
Parmi ses récentes publications, citons BÉATRICE HELG, une monographie enrichie d’un poème dédicace de Robert Wilson, de textes de Serge Linarès et Philippe Piguet, un poème de Sylviane Dupuis parue chez 5 Continents, Milan, 2019.
À l’occasion de l’exposition « Béatrice Helg – Géométries du silence », le musée Réattu publie un important catalogue avec des textes de Patrick de Carolis, Daniel Rouvier, David Campany et Nathalie Herschdorfer.
Commissaires de l’exposition :
Daniel Rouvier, conservateur en chef et directeur du musée Réattu et Béatrice Helg
Catalogue : Béatrice Helg, Géométries du silence. 240X305mm, 168 pages, parution juin 2025 - ISBN 978-2-35404-121-2 - prix public 30 euros
Vernissage : le samedi 5 juillet 2025 - 19h
Cette exposition est inscrite au Programme Associé des Rencontres d’Arles 2025 et bénéficie du soutien de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia
Elle compose des installations à partir de matériaux de récupération ou de matières qu’elle imagine et façonne spécialement pour la prise de vue. La lumière devient ici le matériau essentiel. Elle est le médium par lequel toute révélation est possible.
Sculptures ou architectures éphémères, ses œuvres monumentales émergent des profondeurs du silence, elles dévoilent des univers d’ombre et de clarté d’une étrange beauté, aussi poétiques que spirituels.
On y pénètre et l’on s’y perd, entre l’éblouissement et le noir abyssal ! L’œuvre de Béatrice Helg ouvre sur un infini, sur une quête d’absolu ou la recherche d’un mystère intérieur..
Pour Béatrice Helg : « La photographie est une écriture de lumière - de l'obscur et de la lumière dans l'espace. Elle me permet d'explorer l'invisible, l'insoupçonné, l'espace du dedans.
C'est une autre manière d'appréhender, de questionner le réel, la vie, le monde. I...] Cette écriture, que je n'ai pas choisie, s'est très vite imposée à moi. Elle me donne la possibilité d'exprimer des sentiments, de transmettre des sensations, des pensées que je ne saurais évoquer par une photographie de la réalité, ou par des mots...
« Sentir la beauté, c’est donc participer à l’abstraction à travers un agent particulier.
En un sens, c’est un reflet de l’infini de la réalité. »
Mark Rothko, « La réalité de l’artiste », 2004
L’EXPOSITION
La plus vaste monographie jamais consacrée à l’œuvre de Béatrice Helg – présente dans une scénographie épurée un corpus de plus de 70 photographies.
Elle réunit des œuvres emblématiques et des créations inédites, principalement de grand format, issues des séries Théâtres de la lumière, Esprit froissé, Crépuscule, Éclats, Cosmos, Résonance ou Natura, réalisées au cours des 35 dernières années.
BÉATRICE HELG
Née à Genève en 1956, Béatrice Helg poursuit ses études de photographie en Californie, puis à New York, à l’International Center of Photography.
Près de 70 expositions personnelles ont été dédiées à son œuvre en Europe, aux Etats-Unis et au Japon parmi lesquelles une exposition au Palazzo Fortuny, Venise ; à l’IVAM – Institut Valencià d’Art Modern, Valence ; au Museum of Contemporary Photography, Chicago ; au Museum of Photographic Arts, San Diego ; ainsi qu’aux Rencontres d’Arles.
Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections renommées : musée Réattu, Arles ; la Bibliothèque nationale de France et la Maison européenne de la photographie, Paris ; Photo Élysée, Lausanne ; le Brooklyn Museum et l’International Center of Photography, New York ; le Los Angeles County Museum of Art et Museum of Fine Arts, Houston.
Parmi ses récentes publications, citons BÉATRICE HELG, une monographie enrichie d’un poème dédicace de Robert Wilson, de textes de Serge Linarès et Philippe Piguet, un poème de Sylviane Dupuis parue chez 5 Continents, Milan, 2019.
À l’occasion de l’exposition « Béatrice Helg – Géométries du silence », le musée Réattu publie un important catalogue avec des textes de Patrick de Carolis, Daniel Rouvier, David Campany et Nathalie Herschdorfer.
Commissaires de l’exposition :
Daniel Rouvier, conservateur en chef et directeur du musée Réattu et Béatrice Helg
Catalogue : Béatrice Helg, Géométries du silence. 240X305mm, 168 pages, parution juin 2025 - ISBN 978-2-35404-121-2 - prix public 30 euros
Vernissage : le samedi 5 juillet 2025 - 19h
Cette exposition est inscrite au Programme Associé des Rencontres d’Arles 2025 et bénéficie du soutien de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia

Béatrice Helg - Crépuscule XIV, 2006
Info+
Musée Réattu
Musée des beaux-arts
Ancien Grand Prieuré de l’Ordre de Malte
10 rue du Grand Prieuré
13200 Arles
Librairie boutique : 04 90 49 38 34
Réservation : 04 90 49 37 58
www.facebook.com/museereattu
www.instagram.com/musee.reattu
Musée des beaux-arts
Ancien Grand Prieuré de l’Ordre de Malte
10 rue du Grand Prieuré
13200 Arles
Librairie boutique : 04 90 49 38 34
Réservation : 04 90 49 37 58
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