Elle est consacrée à Agnès Varda qui a toujours été très attachée à l’œuvre du Facteur Cheval et a aimé revenir visiter son Palais Idéal à de nombreuses reprises depuis les années 50.
Intitulée Agnès Varda. Correspondances, l’exposition met à jour les liens qui unissaient Agnès Varda à ce lieu unique à travers son goût pour les relations épistolaires, sa passion pour les cartes postales, ses références à la figure emblématique du postier-facteur qui traversera souvent son œuvre cinématographique et documentaire.
Ce projet s’inscrit dans la nouvelle programmation culturelle du Palais Idéal portée par son directeur, Frédéric Legros, souhaitant associer la création contemporaine et des hommages d’artistes à la figure créatrice de Ferdinand Cheval.
Le parcours d’exposition réunira des photographies d’Agnès Varda et des œuvres en lien avec certains de ses films comme Les glaneurs et la glaneuse ou Deux ans après, ainsi que de nombreuses pièces de sa collection personnelle : lettres échangées avec des artistes tels Calder, Pierre François ou Chris Marker, collections de cartes postales anciennes, témoignages de spectateurs qui ont aimé ses films.
Des personnes connues ou inconnues ont alimenté ce plaisir postal tout au long de sa vie comme le montrent de nombreux documents, art-mails ou cadeaux d’art modestes, témoins créatifs et ludiques mis en correspondances dans l’exposition.
Intitulée Agnès Varda. Correspondances, l’exposition met à jour les liens qui unissaient Agnès Varda à ce lieu unique à travers son goût pour les relations épistolaires, sa passion pour les cartes postales, ses références à la figure emblématique du postier-facteur qui traversera souvent son œuvre cinématographique et documentaire.
Ce projet s’inscrit dans la nouvelle programmation culturelle du Palais Idéal portée par son directeur, Frédéric Legros, souhaitant associer la création contemporaine et des hommages d’artistes à la figure créatrice de Ferdinand Cheval.
Le parcours d’exposition réunira des photographies d’Agnès Varda et des œuvres en lien avec certains de ses films comme Les glaneurs et la glaneuse ou Deux ans après, ainsi que de nombreuses pièces de sa collection personnelle : lettres échangées avec des artistes tels Calder, Pierre François ou Chris Marker, collections de cartes postales anciennes, témoignages de spectateurs qui ont aimé ses films.
Des personnes connues ou inconnues ont alimenté ce plaisir postal tout au long de sa vie comme le montrent de nombreux documents, art-mails ou cadeaux d’art modestes, témoins créatifs et ludiques mis en correspondances dans l’exposition.