Ernest Pignon-Ernest © DR
Repéré dès 1972 au Salon de la jeune peinture du Grand Palais, Pignon- Ernest connaîtra toute sa vie les deux pans du monde artistique. Il sera aussi bien amené à créer en pleine rue que dans le cadre d'expositions personnelles en galeries, intervenant dans des musées prestigieux (musée Rimbaud, musée d'Art moderne de Paris, musée Picasso d'Antibes, palais des Beaux-Arts de Pékin,musée Ingres, etc .).
Dessins parfaitement intégrés à l'architecture de la ville, ses oeuvres s'imposent comme des offrandes collectives que chacun peut observer, loin des vitrines de musée.Avec des dessins empreints de nostalgie, de questions modernes et un souci historique constant, Ernest Pignon-Ernest déploie des figures aussi troublantes que belles qui ne manquent pas d'interroger le rapport de chacun à son espace,mais surtout à sa mémoire.
Hanté par les ombres de Nagasaki et d'Hiroshima, il a apposé des images peintes, dessinées, sérigraphiées sur du papier fragile, sur les murs des cités, dans des cabines téléphoniques, qui se fondent dans l'architecture urbaine, sont acceptées par les populations qui les défendent même de leur dégradation lente (Naples). Les témoignages photographiques accentuent cette fusion et en gardent les traces. Ernest Pignon-Ernest dénonce l'art construit pour les musées et expositions.
Ernest Pignon-Ernest
Galerie Confluence(s) de l’IUFM
Vernissage de l’exposition, le jeudi 20 janvier à 18h30, en présence de l’artiste
5, rue Anselme - Lyon 4ème
Tél : 04 72 07 30 74
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi de 14h30 à 18h
www.lyon.iufm.fr/confluences/
Dessins parfaitement intégrés à l'architecture de la ville, ses oeuvres s'imposent comme des offrandes collectives que chacun peut observer, loin des vitrines de musée.Avec des dessins empreints de nostalgie, de questions modernes et un souci historique constant, Ernest Pignon-Ernest déploie des figures aussi troublantes que belles qui ne manquent pas d'interroger le rapport de chacun à son espace,mais surtout à sa mémoire.
Hanté par les ombres de Nagasaki et d'Hiroshima, il a apposé des images peintes, dessinées, sérigraphiées sur du papier fragile, sur les murs des cités, dans des cabines téléphoniques, qui se fondent dans l'architecture urbaine, sont acceptées par les populations qui les défendent même de leur dégradation lente (Naples). Les témoignages photographiques accentuent cette fusion et en gardent les traces. Ernest Pignon-Ernest dénonce l'art construit pour les musées et expositions.
Ernest Pignon-Ernest
Galerie Confluence(s) de l’IUFM
Vernissage de l’exposition, le jeudi 20 janvier à 18h30, en présence de l’artiste
5, rue Anselme - Lyon 4ème
Tél : 04 72 07 30 74
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi de 14h30 à 18h
www.lyon.iufm.fr/confluences/