D'abord assimilé au Pop Art, Peter Saul s'en éloigne pour développer son propre langage fait de mauvaises blagues et de références irrévérencieuses. Contre-culture, humour, outrance, et mauvais goût : voilà les outils de ce « sale gosse de l'Amérique. »
Au cours de ces quarante-cinq dernières années, il a revisité, à sa manière, les chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art et a développé sa propre vision de l'Histoire.Une vision radicale qui ne va pas dans le sens de la grandeurmais propose un nouveau regard au travers du prisme de la culture populaire contemporaine. Peter Saul renvoie l'histoire à sa vérité première: un mélange de terreur et de romance. Il raconte des histoires, sur un mode parfois salace, basées sur des évènements historiques, sur l'histoire de l'art, ou bien encore sur la mythologie.Elles lui servent à mettre en avant la perversité, l'avidité, la boulimie, l'arrogance, la paresse, l'agressivité d'une Amérique triomphante et souvent détestée. Ses compositions chaotiques empruntent à la peinture classique certains principes de construction : il dessine sur la toile, réalise les fonds, dispose d'abord les objets secondaires afin, ensuite de dilater le sujet noble. Les couleurs acides, l'annulation de la perspective transforment ces images en vignettes de bande dessinée.
Quand il s'attaque aux chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art et les traite comme un caricaturiste, il réalise là un véritable hold-up de l'image, parodiant l'art et la critique en général.
Au cours de ces quarante-cinq dernières années, il a revisité, à sa manière, les chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art et a développé sa propre vision de l'Histoire.Une vision radicale qui ne va pas dans le sens de la grandeurmais propose un nouveau regard au travers du prisme de la culture populaire contemporaine. Peter Saul renvoie l'histoire à sa vérité première: un mélange de terreur et de romance. Il raconte des histoires, sur un mode parfois salace, basées sur des évènements historiques, sur l'histoire de l'art, ou bien encore sur la mythologie.Elles lui servent à mettre en avant la perversité, l'avidité, la boulimie, l'arrogance, la paresse, l'agressivité d'une Amérique triomphante et souvent détestée. Ses compositions chaotiques empruntent à la peinture classique certains principes de construction : il dessine sur la toile, réalise les fonds, dispose d'abord les objets secondaires afin, ensuite de dilater le sujet noble. Les couleurs acides, l'annulation de la perspective transforment ces images en vignettes de bande dessinée.
Quand il s'attaque aux chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art et les traite comme un caricaturiste, il réalise là un véritable hold-up de l'image, parodiant l'art et la critique en général.
Informations pratiques
Heures d’ouverture :
du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi de 14h30 à 18h
Vernissage LE JEUDI 14 JANVIER 2010 A 18H30
Galerie IUFM Confluence(s) - 5, rue Anselme - 69004 Lyon
Christian Calligarot : Responsable de la Galerie : Tél : 04 72 07 30 80
Cécile Carretti : Collaboratrice : Tél : 04 72 07 30 74
www.lyon.iufm.fr/confluences/
du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi de 14h30 à 18h
Vernissage LE JEUDI 14 JANVIER 2010 A 18H30
Galerie IUFM Confluence(s) - 5, rue Anselme - 69004 Lyon
Christian Calligarot : Responsable de la Galerie : Tél : 04 72 07 30 80
Cécile Carretti : Collaboratrice : Tél : 04 72 07 30 74
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