
Ce succès public et critique, est dû à la qualité et à l’ampleur de cette rétrospective. Le travail scientifique réalisé par le commissaire américain Jon Hendricks et les importants prêts d’œuvres de collections publiques et privées ont permis de mettre en lumière l’apport fondamental de l’œuvre de Ben dans l’histoire de l’art. Le pari de présenter l’œuvre dans son intégralité, c’est-à-dire la part joyeuse, critique, bien sûr, mais aussi la part moins connue de l’œuvre, plus noire, plus conceptuelle, tragique, est semble-t-il gagné.
Suite à cette exposition, le macLYON conserve, avec la complicité de Benjamin Vautier, outre le Bizart baz’art :
- 11 bancs créés spécialement pour la rétrospective
- près de 200 photographies des Gestes de Ben dans les années 60 (grâce au partenariat de BIMP/EPSON)
- ainsi que le film de ses actions de rue.
Suite à cette exposition, le macLYON conserve, avec la complicité de Benjamin Vautier, outre le Bizart baz’art :
- 11 bancs créés spécialement pour la rétrospective
- près de 200 photographies des Gestes de Ben dans les années 60 (grâce au partenariat de BIMP/EPSON)
- ainsi que le film de ses actions de rue.