Inde, Tribu Warli © Anne de Vandière, Galerie Maubert
Cette exposition sera une des dernières étapes de cette aventure singulière qui amène Anne de Vandière, depuis plus de 5 ans, à archiver des portraits et des témoignages d’hommes et de femmes appartenant à des ethnies et tribus menacées de disparition, à travers des photographies de leurs mains. Avant la rétrospective qui aura lieu dans trois ans et qui rassemblera les tribus rencontrées aux quatre coins du monde, notamment au Sénégal, en Inde, en Tanzanie, au Népal, en Ethiopie, au Japon, au Pérou...
Anne de Vandière archive à sa manière la mémoire et les savoir-faire de peuples en marge de la civilisation. Des portraits de mains d’hommes et de femmes appartenant à des ethnies / tribus fragilisées. Un regard exceptionnel, montrant une mixité, une diversité ancrée dans les racines de peuples où le geste des mains est souvent lié à des vies, des métiers en passe de disparaitre. Un projet artistique qui touche aux grands sujets de société : le développement durable, la mondialisation, la diversité et qui par ailleurs est soutenu par l’Unesco et Culture France.
« Fragilisés, souvent ignorés, ces peuples-racines au bord du monde sont les sanctuaires de notre planète. Notre luxe ultime, par leur histoire, leur philosophie… Dans chaque geste de leurs mains bat un savoir faire ancestral. Un patrimoine de l’humanité qui force le respect. » Anne de Vandière.
L’ Association Tribus du Monde contribue à la prise de conscience des menaces de fragilisations qui pèsent sur ces peuples, auprès des politiques, organismes multilatéraux, entreprises engagées dans le développement durable... A la vente de chaque photo, les ethnies/tribus reçoivent une partie significative de cette vente. Grâce à l’Association, une jeune fille Masaï ainsi que des sextuplés Bediks ont pu faire des études, et une petite coopérative céréalière vient de se créer au coeur de la tribu Bassari à la frontière du Mali.
Anne de Vandière archive à sa manière la mémoire et les savoir-faire de peuples en marge de la civilisation. Des portraits de mains d’hommes et de femmes appartenant à des ethnies / tribus fragilisées. Un regard exceptionnel, montrant une mixité, une diversité ancrée dans les racines de peuples où le geste des mains est souvent lié à des vies, des métiers en passe de disparaitre. Un projet artistique qui touche aux grands sujets de société : le développement durable, la mondialisation, la diversité et qui par ailleurs est soutenu par l’Unesco et Culture France.
« Fragilisés, souvent ignorés, ces peuples-racines au bord du monde sont les sanctuaires de notre planète. Notre luxe ultime, par leur histoire, leur philosophie… Dans chaque geste de leurs mains bat un savoir faire ancestral. Un patrimoine de l’humanité qui force le respect. » Anne de Vandière.
L’ Association Tribus du Monde contribue à la prise de conscience des menaces de fragilisations qui pèsent sur ces peuples, auprès des politiques, organismes multilatéraux, entreprises engagées dans le développement durable... A la vente de chaque photo, les ethnies/tribus reçoivent une partie significative de cette vente. Grâce à l’Association, une jeune fille Masaï ainsi que des sextuplés Bediks ont pu faire des études, et une petite coopérative céréalière vient de se créer au coeur de la tribu Bassari à la frontière du Mali.