Munich et Sokhiev ! L’une des plus belles phalanges au monde et l’un des chefs les plus en vue de la scène internationale dans une symphonie de Tchaïkovski, brûlante de passions et de drames. Quel contraste avec l’humour du Concerto pour deux pianos de Poulenc ! Patchwork de styles, l’œuvre régale par sa vitalité ébouriffante et le jeu virtuose d’Arthur et Lucas Jussen.
Programme
FELIX MENDELSSOHN : Ouverture Les Hébrides, opus 26
POULENC : Concerto pour 2 pianos et orchestre en ré mineur, FP 61
TCHAÏKOVSKI : Symphonie n°4 en fa mineur, opus 36
Réservations
Programme
FELIX MENDELSSOHN : Ouverture Les Hébrides, opus 26
POULENC : Concerto pour 2 pianos et orchestre en ré mineur, FP 61
TCHAÏKOVSKI : Symphonie n°4 en fa mineur, opus 36
Réservations
Info+
Depuis les débuts retentissants de sa carrière, Tugan Sokhiev a été un invité régulier des Grands Interprètes. A la tête du prestigieux Orchestre Philharmonique de Munich, l’une des plus belles phalanges internationales, il accompagne deux nouvelles stars du piano : les frères Arthur et Lucas Jussen. Ces deux artistes témoignent d’un tempérament extraordinaire dans le Concerto pour deux pianos de Poulenc.
Patchwork de styles, l’œuvre régale par sa vitalité ébouriffante. Il s’agit d’un véritable puzzle musical jonglant avec les thèmes juste pour le plaisir, comme un divertissement raffiné. Le concerto nous emmène d’un univers de flonflons au lyrisme du romantisme. Il faut une habileté diabolique pour le jouer.
Du romantisme cette fois-ci le plus dramatique, il en est question avec la Symphonie n°4 de Tchaïkovski, l’un des piliers du répertoire de Tugan Sokhiev. Brûlante de passions et de drames, cette musique est portée par un thème que le compositeur décrit ainsi :« l’idée principale de la symphonie entière est le fatum, cette force funeste qui s’oppose à la réalisation du bonheur auquel nous aspirons ». Valses, rêveries et triomphes factices dans le finale se succèdent pour cacher la solitude et le désespoir du compositeur. Un chef-d’œuvre au crépuscule du romantisme.
Patchwork de styles, l’œuvre régale par sa vitalité ébouriffante. Il s’agit d’un véritable puzzle musical jonglant avec les thèmes juste pour le plaisir, comme un divertissement raffiné. Le concerto nous emmène d’un univers de flonflons au lyrisme du romantisme. Il faut une habileté diabolique pour le jouer.
Du romantisme cette fois-ci le plus dramatique, il en est question avec la Symphonie n°4 de Tchaïkovski, l’un des piliers du répertoire de Tugan Sokhiev. Brûlante de passions et de drames, cette musique est portée par un thème que le compositeur décrit ainsi :« l’idée principale de la symphonie entière est le fatum, cette force funeste qui s’oppose à la réalisation du bonheur auquel nous aspirons ». Valses, rêveries et triomphes factices dans le finale se succèdent pour cacher la solitude et le désespoir du compositeur. Un chef-d’œuvre au crépuscule du romantisme.


Toulouse, La Halle aux Grains : Münchner Philharmoniker. Tugan Sokhiev, Arthur et Lucas Jussen. lundi 24 novembre 2025

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