Reminiscencia. Malicho Vaca Valenzuela. 22 — 24 octobre

En plein confinement, Malicho Vaca Valenzuela s’est penché sur l’histoire de son quartier animé et central de Santiago, où convergent les manifestations et où se déroulent les rassemblements politiques. Il s’appuie sur des appels à témoignages dans sa famille et sur les réseaux sociaux, mène des recherches iconographiques sur internet. Et dresse une cartographie de ce territoire singulier, coincé entre mer et montagne, où la nature est extrême.
Assis derrière un ordinateur, face au public, il projette des images de ses grands-parents évoquant leurs luttes passées sous la dictature, ou celles d’autres Chiliens relatant leur situation actuelle, souvent précaire. Il relie entre eux les secrets enfouis de son pays. Par le biais de ces fragments de récits, le trentenaire trouve un écho jusqu’en Europe avec ce spectacle.
Il y transmet avec tendresse une narration des émotions et des identités chiliennes en invitant les spectateurs et spectatrices à « écouter leur intériorité ». Ainsi, il déterre les disparitions, les secrets et même la dictature, qui fondent leur mémoire collective.
En espagnol, surtitré en français et anglais
Spectacle programmé dans le cadre du Festival international de théâtre Sens Interdits
Avec Rosa Alfaro, Malicho Vaca Valenzuela, Lindor Valenzuela
texte, création, mise en scène, dramaturgie et vidéo Malicho Vaca Valenzuela
assistanat à la mise en scène Ébana Garín Coronel
lumière Nicolás Zapata
régie générale et vidéo Malicho Vaca Valenzuela
régie plateau Ébana Garín Coronel
remerciements à mes grands‑parents
Réservation
Assis derrière un ordinateur, face au public, il projette des images de ses grands-parents évoquant leurs luttes passées sous la dictature, ou celles d’autres Chiliens relatant leur situation actuelle, souvent précaire. Il relie entre eux les secrets enfouis de son pays. Par le biais de ces fragments de récits, le trentenaire trouve un écho jusqu’en Europe avec ce spectacle.
Il y transmet avec tendresse une narration des émotions et des identités chiliennes en invitant les spectateurs et spectatrices à « écouter leur intériorité ». Ainsi, il déterre les disparitions, les secrets et même la dictature, qui fondent leur mémoire collective.
En espagnol, surtitré en français et anglais
Spectacle programmé dans le cadre du Festival international de théâtre Sens Interdits
Avec Rosa Alfaro, Malicho Vaca Valenzuela, Lindor Valenzuela
texte, création, mise en scène, dramaturgie et vidéo Malicho Vaca Valenzuela
assistanat à la mise en scène Ébana Garín Coronel
lumière Nicolás Zapata
régie générale et vidéo Malicho Vaca Valenzuela
régie plateau Ébana Garín Coronel
remerciements à mes grands‑parents
Réservation
The Brotherhood. Trilogie Cadela Força – Chapitre II. Carolina Bianchi Y Cara de Cavalo. 6 — 8 novembre

Après un premier volet sur le viol qui avait bouleversé Avignon, Carolina Bianchi revient avec une création qui plonge au cœur de la masculinité et de sa violence. Entourée de huit acteurs, elle interroge les origines de la fraternité entre hommes, la place du sexe, du pouvoir et de la domination. Un spectacle puissant, à la fois troublant et nécessaire, présenté pour la première fois en France.
En portugais brésilien et anglais surtitré en français et anglais
Ce spectacle ne s’adresse pas aux -16 ans
Avec Rodrigo Andreolli, José Artur, Carolina Bianchi, Tomás Decina, Lucas Delfino, Flow Kountouriotis, Chico Lima, Rafael Limongelli, Kai Wido Meyer
dramaturgie et recherche Carolina Mendonça
assistanat à la mise en scène Murillo Basso
décor Carolina Bianchi, Luisa Callegari
art et costumes Luisa Callegari
son, musique originale, régie Miguel Caldas
lumière Jo Rios
vidéo Montserrat Fonseca Llach
caméra live et soutien artistique Larissa Ballarotti
chorégraphie de prologue Jimena Pérez Salerno
dialogue autour de la théorie et de la dramaturgie Silvia Bottiroli
traduction en anglais Marina Matheus
traduction en français Thomas Resendes
régie et assistanat à la production AnaCris Medina
assistanat à la production Zuzanna Kubiak
direction de production, tournée et communication Carla Estefan
relations internationales, production et diffusion Metro Gestão Cultural — Brésil
Réserver
En portugais brésilien et anglais surtitré en français et anglais
Ce spectacle ne s’adresse pas aux -16 ans
Avec Rodrigo Andreolli, José Artur, Carolina Bianchi, Tomás Decina, Lucas Delfino, Flow Kountouriotis, Chico Lima, Rafael Limongelli, Kai Wido Meyer
dramaturgie et recherche Carolina Mendonça
assistanat à la mise en scène Murillo Basso
décor Carolina Bianchi, Luisa Callegari
art et costumes Luisa Callegari
son, musique originale, régie Miguel Caldas
lumière Jo Rios
vidéo Montserrat Fonseca Llach
caméra live et soutien artistique Larissa Ballarotti
chorégraphie de prologue Jimena Pérez Salerno
dialogue autour de la théorie et de la dramaturgie Silvia Bottiroli
traduction en anglais Marina Matheus
traduction en français Thomas Resendes
régie et assistanat à la production AnaCris Medina
assistanat à la production Zuzanna Kubiak
direction de production, tournée et communication Carla Estefan
relations internationales, production et diffusion Metro Gestão Cultural — Brésil
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Stephan Eicher. Seul en scène. 28 — 30 octobre

Un spectacle musical doux et drôle aux accents folks.
Plus de 40 ans que Stephan Eicher enchaîne les tournées, avant même que son iconique Déjeuner en paix (1991) ne le propulse en tête des charts. Chaque soir une ville différente, tout défaire pour tout remonter ailleurs. Le chanteur aspirait depuis longtemps à séjourner dans un théâtre, travailler avec l’équipage de ces « vaisseaux de rêve ». C’est chose faite avec ce solo dans lequel il livre avec humour des moments de vie, des récits personnels et reprend les chansons signées par son ami Philippe Djian, et quelques-unes en allemand écrites par Martin Suter.
Entre rock, chanson française, musique électronique et pop. Avec sa guitare acoustique, un piano qu’il a lui-même dessiné, des machines anciennes et un accordéon, il se fait homme‑orchestre sous la direction de son compatriote suisse François Gremaud, le metteur en scène de Giselle… et Carmen. présentés aux Célestins en 2023.
Loin d’un concert traditionnel, ce « seul en scène » tisse un dialogue intime avec le public. Au théâtre, Stephan Eicher trouve un cadre idéal pour déposer ses peurs et ses joies, sa musique et son talent, dans une aventure aussi nouvelle que régénérante.
Réserver
Plus de 40 ans que Stephan Eicher enchaîne les tournées, avant même que son iconique Déjeuner en paix (1991) ne le propulse en tête des charts. Chaque soir une ville différente, tout défaire pour tout remonter ailleurs. Le chanteur aspirait depuis longtemps à séjourner dans un théâtre, travailler avec l’équipage de ces « vaisseaux de rêve ». C’est chose faite avec ce solo dans lequel il livre avec humour des moments de vie, des récits personnels et reprend les chansons signées par son ami Philippe Djian, et quelques-unes en allemand écrites par Martin Suter.
Entre rock, chanson française, musique électronique et pop. Avec sa guitare acoustique, un piano qu’il a lui-même dessiné, des machines anciennes et un accordéon, il se fait homme‑orchestre sous la direction de son compatriote suisse François Gremaud, le metteur en scène de Giselle… et Carmen. présentés aux Célestins en 2023.
Loin d’un concert traditionnel, ce « seul en scène » tisse un dialogue intime avec le public. Au théâtre, Stephan Eicher trouve un cadre idéal pour déposer ses peurs et ses joies, sa musique et son talent, dans une aventure aussi nouvelle que régénérante.
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