Le mélange éternel des genres et des cultures
Après les 500.000 exemplaires vendus sur les escales de ses "Carnets de bord", et une série de concerts consacrés au grand frère Ferré, Lavilliers a démarré un nouveau périple, une nouvelle aventure musicale. "Samedi soir à Beyrouth", son nouvel album, suit le fil conducteur d'une soul qui prend sa source dans le Tenessee et aborde les rivages jamaïcains pour finir sa course en France. C'est ainsi que Lavilliers conçoit l'avenir, rappeler sans cesse qu'il se nourrit de ce mélange éternel des genres et des cultures. En ce sens, il est toujours aux prises avec la plus forte actualité et la modernité. Ouvrant ses chansons aux chants du monde, le revoilà donc ambassadeur des couleurs, du mouvement, des échanges.
Il nous rappelle que la soul, le reggae, la poésie se répondent et sont l'écho de nos propres mémoires.
Il nous rappelle que la soul, le reggae, la poésie se répondent et sont l'écho de nos propres mémoires.