Daniel Buren dans la Nef du Grand Palais. Photo Farida Bréchemier – Tous droits réservés Monumenta 2012, ministère de la Culture et de la Communication
Après le succès des quatre premières éditions de MONUMENTA confiées au peintre allemand Anselm Kiefer en 2007, au sculpteur américain Richard Serra en 2008, à l’artiste français Christian Boltanski en 2010, puis à l’artiste britannique né en Inde Anish Kapoor, qui attira en 2011 plus de 270 000 visiteurs en six semaines et demi, c’est Daniel Buren, l’un des créateurs français les plus reconnus et honorés dans le monde – tant par ses pairs que par le public -, qui relève le défi du 10 mai au 21 juin 2012. Daniel Buren a réalisé près de deux mille expositions dans le monde entier.
Né en 1938 à Boulogne-Billancourt, il déclare vivre et travailler in situ, mettant l’accent sur l’importance fondamentale des sites dans lesquels et pour lesquels il crée. Il a ainsi transfiguré le Guggenheim de New York ou la Cour d'honneur du Palais Royal à Paris. En 2012, MONUMENTA lui propose de se confronter à toute la démesure, la beauté, la lumière et l'histoire de la Nef du Grand Palais.
Daniel Buren poursuit depuis cinquante ans une oeuvre radicale grâce à une gamme « d’outils visuels » en apparence minimale mais qui engagent le visiteur dans une profonde métamorphose de sa perception : ce qu’il croyait connaître est, par la grâce de gestes simples mais aux formidables possibilités, comme retourné sur lui-même. Le lieu devient inséparable de l'oeuvre qui en révèle les dimensions cachées, et le regard voit soudain « autrement ». Si le travail artistique, la réflexion théorique, les modes d’intervention de Daniel Buren ont changé l'appréhension de l'art contemporain, l'attachement de l'artiste au sens primordial de la vision, à la couleur comme « pensée brute » ainsi que la latitude et le plaisir d'expérimentation qu'il offre au spectateur lui ont également assuré la faveur du grand public.
Pour MONUMENTA 2012, Daniel Buren plongera les visiteurs au coeur d'un Grand Palais métamorphosé. Leur parcours dans l’espace les fera participer activement au déploiement et à l'activation plastique et spatiale d'une oeuvre inédite, fidèle à la démarche exigeante d'un grand artiste dont la discrétion des outils engendre un maximum d’effets, leur révélant des dimensions cachées, un potentiel jusque là invisible, une histoire ancienne et d'aujourd'hui.
La force d’évidence de l’oeuvre de Daniel Buren constitue un terrain fécond pour mettre en acte la démocratisation de l’accès à l’art contemporain. Pour cela, le ministère de la Culture et de la Communication a façonné, au fil des éditions de MONUMENTA, un dispositif conçu pour accueillir les publics les plus divers mis en oeuvre par le Centre national des arts plastiques (CNAP). Pour répondre à toutes les attentes et pour que chacun puisse, au-delà des a priori, se familiariser à l’art contemporain, les visiteurs peuvent disposer – gracieusement – de l’accompagnement de médiateurs spécialisés, dont les connaissances et les talents de pédagogues multiplient les possibilités d’accès et de compréhension de l’oeuvre.
Né en 1938 à Boulogne-Billancourt, il déclare vivre et travailler in situ, mettant l’accent sur l’importance fondamentale des sites dans lesquels et pour lesquels il crée. Il a ainsi transfiguré le Guggenheim de New York ou la Cour d'honneur du Palais Royal à Paris. En 2012, MONUMENTA lui propose de se confronter à toute la démesure, la beauté, la lumière et l'histoire de la Nef du Grand Palais.
Daniel Buren poursuit depuis cinquante ans une oeuvre radicale grâce à une gamme « d’outils visuels » en apparence minimale mais qui engagent le visiteur dans une profonde métamorphose de sa perception : ce qu’il croyait connaître est, par la grâce de gestes simples mais aux formidables possibilités, comme retourné sur lui-même. Le lieu devient inséparable de l'oeuvre qui en révèle les dimensions cachées, et le regard voit soudain « autrement ». Si le travail artistique, la réflexion théorique, les modes d’intervention de Daniel Buren ont changé l'appréhension de l'art contemporain, l'attachement de l'artiste au sens primordial de la vision, à la couleur comme « pensée brute » ainsi que la latitude et le plaisir d'expérimentation qu'il offre au spectateur lui ont également assuré la faveur du grand public.
Pour MONUMENTA 2012, Daniel Buren plongera les visiteurs au coeur d'un Grand Palais métamorphosé. Leur parcours dans l’espace les fera participer activement au déploiement et à l'activation plastique et spatiale d'une oeuvre inédite, fidèle à la démarche exigeante d'un grand artiste dont la discrétion des outils engendre un maximum d’effets, leur révélant des dimensions cachées, un potentiel jusque là invisible, une histoire ancienne et d'aujourd'hui.
La force d’évidence de l’oeuvre de Daniel Buren constitue un terrain fécond pour mettre en acte la démocratisation de l’accès à l’art contemporain. Pour cela, le ministère de la Culture et de la Communication a façonné, au fil des éditions de MONUMENTA, un dispositif conçu pour accueillir les publics les plus divers mis en oeuvre par le Centre national des arts plastiques (CNAP). Pour répondre à toutes les attentes et pour que chacun puisse, au-delà des a priori, se familiariser à l’art contemporain, les visiteurs peuvent disposer – gracieusement – de l’accompagnement de médiateurs spécialisés, dont les connaissances et les talents de pédagogues multiplient les possibilités d’accès et de compréhension de l’oeuvre.