L'expo

Arch. départ. AHP, 5 R 32, Drioli, questionnaire destiné à l’obtention de la carte d’identité d’étranger, 3 juin 1917
Le processus d’identification par le biais de papier est amorcé peu avant 1789 et concerne d’abord les populations les plus pauvres (les ouvriers, nomades et indigènes des colonies).
Pour Jean-Louis Bianco, Président du conseil général des Alpes de Haute-Provence : « au-delà de sa dimension historique, cette exposition qui montre qu’exister c’est avoir des papiers, trouve encore une résonnance toute particulière aujourd’hui ».
Y sont présentés :
• Des cartes (d’identité, professionnelles, du combattant…)
• Des livrets (ouvriers, militaires, de famille)
• Des carnets (anthropométriques, de forains…)
• Des laissez-passer et feuilles de route…
• Vrais et faux-papiers de réfractaires à la conscription, au STO, et de résistants.
Pour Jean-Louis Bianco, Président du conseil général des Alpes de Haute-Provence : « au-delà de sa dimension historique, cette exposition qui montre qu’exister c’est avoir des papiers, trouve encore une résonnance toute particulière aujourd’hui ».
Y sont présentés :
• Des cartes (d’identité, professionnelles, du combattant…)
• Des livrets (ouvriers, militaires, de famille)
• Des carnets (anthropométriques, de forains…)
• Des laissez-passer et feuilles de route…
• Vrais et faux-papiers de réfractaires à la conscription, au STO, et de résistants.