La Révolution Française, le changement de résidence « volontaire » de la royauté, les organisations politiques épouvantées par le coup de main des amazones, l’humanité d’une femme, sa dignité et son amour pour un homme sont les différentes thématiques abordées dans ce projet.
Le spectateur est amené à découvrir un épisode de l’Histoire de France à travers le parcours pas si ordinaire d’une femme, Marie-Antoinette, dont Stefan Zweig retrace avec sensibilité et rigueur l’évolution.
Le port de tête de Marie-Antoinette est une forme solo de 50 mn mêlant le théâtre, le chant a capella, la percussion corporelle, la vidéo.
Le spectateur est amené à découvrir un épisode de l’Histoire de France à travers le parcours pas si ordinaire d’une femme, Marie-Antoinette, dont Stefan Zweig retrace avec sensibilité et rigueur l’évolution.
Le port de tête de Marie-Antoinette est une forme solo de 50 mn mêlant le théâtre, le chant a capella, la percussion corporelle, la vidéo.
Stefan Zweig
Stefan Zweig est né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche. Fils d'un riche industriel israélite, il put mener ses études en toute liberté, n'écoutant que son goût qui l'inclinait à la fois vers la littérature, la philosophie et l'histoire.
Il jugeait que "la littérature n'est pas la vie", qu'elle n'est "qu'un moyen d'exaltation de la vie, un moyen d'en saisir le drame de façon plus claire et plus intelligible". Son ambition était alors "de donner à mon existence l'amplitude, la plénitude, la force et la connaissance, aussi de la lier à l'essentiel et à la profondeur des choses". En 1904, il alla à Paris, où il séjourna à plusieurs reprises et se lia d'amitié avec les écrivains de l'Abbaye, Jules Romains en particulier, avec qui, plus tard, il adapterait superbement le "Volpone", que des dizaines de milliers de Parisiens eurent la joie de voir jouer à l'Atelier.
Les multiples voyages de Zweig devaient forcément développer en lui l'amour que dès son adolescence il ressentait pour les lettres étrangères, et surtout pour les lettres françaises. Cet amour, qui se transforma par la suite en un véritable culte, il le manifesta par des traductions remarquables de Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, de son ami Verhaeren, dont il fit connaître en Europe centrale les vers puissants et les pièces de théâtre, de Suarès, de Romain Rolland, sur qui il fut l'un des premiers, sinon le premier, à attirer l'attention des pays de langue allemande et qui eut sur lui une influence morale considérable.
Le 22 février 1942, Stefan Zweig rédige un message d'adieu. Le lendemain, Stefan Zweig n'était plus. Pour se soustraire à la vie, il avait ingéré des médicaments, suicide sans brutalité qui répondait parfaitement à sa nature. Sa femme l'avait suivi dans la mort.
Il jugeait que "la littérature n'est pas la vie", qu'elle n'est "qu'un moyen d'exaltation de la vie, un moyen d'en saisir le drame de façon plus claire et plus intelligible". Son ambition était alors "de donner à mon existence l'amplitude, la plénitude, la force et la connaissance, aussi de la lier à l'essentiel et à la profondeur des choses". En 1904, il alla à Paris, où il séjourna à plusieurs reprises et se lia d'amitié avec les écrivains de l'Abbaye, Jules Romains en particulier, avec qui, plus tard, il adapterait superbement le "Volpone", que des dizaines de milliers de Parisiens eurent la joie de voir jouer à l'Atelier.
Les multiples voyages de Zweig devaient forcément développer en lui l'amour que dès son adolescence il ressentait pour les lettres étrangères, et surtout pour les lettres françaises. Cet amour, qui se transforma par la suite en un véritable culte, il le manifesta par des traductions remarquables de Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, de son ami Verhaeren, dont il fit connaître en Europe centrale les vers puissants et les pièces de théâtre, de Suarès, de Romain Rolland, sur qui il fut l'un des premiers, sinon le premier, à attirer l'attention des pays de langue allemande et qui eut sur lui une influence morale considérable.
Le 22 février 1942, Stefan Zweig rédige un message d'adieu. Le lendemain, Stefan Zweig n'était plus. Pour se soustraire à la vie, il avait ingéré des médicaments, suicide sans brutalité qui répondait parfaitement à sa nature. Sa femme l'avait suivi dans la mort.
Pratique
Théâtre des Marronniers
7 rue des Marronniers
69002 LYON
A 20h30, dimanche à 17h, lundi 19h.
prix des places : 15 €, étudiants – 25 ans : 12 €, jeunes -16 ans : 8 € - Le jeudi : 12 € et 8 €
Réservations 04 78 37 98 17 et sur www.theatre-des-marronniers.com
7 rue des Marronniers
69002 LYON
A 20h30, dimanche à 17h, lundi 19h.
prix des places : 15 €, étudiants – 25 ans : 12 €, jeunes -16 ans : 8 € - Le jeudi : 12 € et 8 €
Réservations 04 78 37 98 17 et sur www.theatre-des-marronniers.com