Chaque nouvel espace ouvert est un nouvel enjeu pour l’équipe du musée. L’arrivée de nouvelles pièces, l’agrandissement de la collection est toujours synonyme de l’aboutissement d’un partenariat entre le musée et un studio, qu’il soit européen ou américain. Les Etats-Unis et l’Allemagne sont à l’honneur grâce aux deux pièces maîtresses de l’exposition : la locomotive du film « Hugo Cabret » de Martin Scorsese prêtée par New Deal Studios et le Galion Richelieu des Trois Mousquetaires, film de Paul W.S. Anderson qui est une des dernières acquisitions du musée et a été fabriquée dans les studios de Babelsberg à Berlin par l’équipe de Simon Weisse.
De New Deal Studios à Scorsese, la nouvelle exposition temporaire Outre ces deux miniatures, figurent également la Tour Eiffel sortie elle aussi de chez New Deal Studios, le Capitole en provenance des studios Cinema Production Services et une statue de la liberté sauvée de la destruction par Superman, alias Christopher Reeve.
De New Deal Studios à Scorsese, la nouvelle exposition temporaire Outre ces deux miniatures, figurent également la Tour Eiffel sortie elle aussi de chez New Deal Studios, le Capitole en provenance des studios Cinema Production Services et une statue de la liberté sauvée de la destruction par Superman, alias Christopher Reeve.
La locomotive du film Hugo Cabret [Hugo] – Film de Martin Scorsese 2011 (Paramount) – 5 Oscars dont celui des meilleurs effets visuels.
À partir de la photo de l’accident de la gare Montparnasse en 1895, une réplique exacte du train a été créée par ordinateur. Ce modèle numérique a permis de tracer les plans pour fabriquer une maquette en bois, plastique et résine.
Les roues et leur mécanisme ont été usinés en aluminium sur une machine à commande numérique. Une chaudière miniature projetait des volutes de vapeur en synchronisme avec le mouvement des roues.
Le train terminé a été photographié pour servir de modèle à la version qui était animée par ordinateur dans certains plans. La version maquette et la version par ordinateur ont été créées à partir du même modèle numérique.
La façade était un décor traditionnel associé à des techniques de pointe : les pavés ont été modélisés par ordinateur, puis moulés en série. La fenêtre a été fabriquée avec des panneaux en verre montés sur un châssis en plomb. Le décor était complété par des accessoires miniatures reproduisant des objets de l’époque.
Ces accessoires étaient conçus pour se briser de manière réaliste dans les scènes de destruction. Un kiosque à journaux d’époque était décoré de centaines de magazines minuscules assemblés à la main.
Un chariot élévateur a été nécessaire pour mettre en place la locomotive et ses 180 kilos. Le train se déplaçait à l’aide d’un piston pneumatique relié à un chariot fixé sur le dernier wagon.
L’action a été filmée en 3D avec des réglages modifiés pour obtenir un relief réaliste malgré l’échelle réduite du décor. Le sol reproduisait en miniature le béton et les dalles de marbre qui recouvraient le quai de la gare Montparnasse.
En préparant la scène dans le logiciel « Solidworks », ils ont pu relever le défi principal de cette séquence : créer sur mesure des attelages qui permettaient à la maquette d’atterrir dans la position exacte du train de 1895.
Les roues et leur mécanisme ont été usinés en aluminium sur une machine à commande numérique. Une chaudière miniature projetait des volutes de vapeur en synchronisme avec le mouvement des roues.
Le train terminé a été photographié pour servir de modèle à la version qui était animée par ordinateur dans certains plans. La version maquette et la version par ordinateur ont été créées à partir du même modèle numérique.
La façade était un décor traditionnel associé à des techniques de pointe : les pavés ont été modélisés par ordinateur, puis moulés en série. La fenêtre a été fabriquée avec des panneaux en verre montés sur un châssis en plomb. Le décor était complété par des accessoires miniatures reproduisant des objets de l’époque.
Ces accessoires étaient conçus pour se briser de manière réaliste dans les scènes de destruction. Un kiosque à journaux d’époque était décoré de centaines de magazines minuscules assemblés à la main.
Un chariot élévateur a été nécessaire pour mettre en place la locomotive et ses 180 kilos. Le train se déplaçait à l’aide d’un piston pneumatique relié à un chariot fixé sur le dernier wagon.
L’action a été filmée en 3D avec des réglages modifiés pour obtenir un relief réaliste malgré l’échelle réduite du décor. Le sol reproduisait en miniature le béton et les dalles de marbre qui recouvraient le quai de la gare Montparnasse.
En préparant la scène dans le logiciel « Solidworks », ils ont pu relever le défi principal de cette séquence : créer sur mesure des attelages qui permettaient à la maquette d’atterrir dans la position exacte du train de 1895.
Pratique
Tarifs individuels:
Enfant (4 à 15 ans inclus) : 6,00 €
Adulte : 8,00 €
Séniors : 7,00 €
- Famille nombreuse :
Enfant (4 à 15 ans inclus) : 5,00 € ; Adulte : 7,00 €
- Tarifs réduits :
Etudiant ; demandeur d’emploi ; personne handicapée : 6,00 €
• Tarifs groupes :
Groupe enfants (4 à 15 ans inclus) : 4,00 €
A partir de 16 ans : 5,00 €
1 accompagnateur gratuit pour 10 enfants et 6,00€ par accompagnateur supplémentaire,
Groupe adultes : 6,00 €
Musée Miniature et Cinéma
60 rue Saint Jean, 69005 Lyon, FRANCE
T. 04 72 98 09 23 / F. 04 78 29 38 51
www.museeminiatureetcinema.fr
Enfant (4 à 15 ans inclus) : 6,00 €
Adulte : 8,00 €
Séniors : 7,00 €
- Famille nombreuse :
Enfant (4 à 15 ans inclus) : 5,00 € ; Adulte : 7,00 €
- Tarifs réduits :
Etudiant ; demandeur d’emploi ; personne handicapée : 6,00 €
• Tarifs groupes :
Groupe enfants (4 à 15 ans inclus) : 4,00 €
A partir de 16 ans : 5,00 €
1 accompagnateur gratuit pour 10 enfants et 6,00€ par accompagnateur supplémentaire,
Groupe adultes : 6,00 €
Musée Miniature et Cinéma
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T. 04 72 98 09 23 / F. 04 78 29 38 51
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