bal Guinguette et rétro
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guinguette & rétro
musique
guinguette & rétro
Convivència
lundi 14 Juillet 2008
19 heures, rue Réattu
lundi 14 Juillet 2008
19 heures, rue Réattu
DANY ROLL quartet
Canebière sur Marne
Esprit guinguette et rétro au programme d'ouverture de Convivència, qu'un 14 juillet inspire, un brin désuet, mais plein d'une immense tendresse. L'occasion de renouer avec ce petit bal populaire de nos (grands-)parents à la lueur des lampions, sous la pergola et de (re)découvrir les airs qui sont restés marqués dans toutes les mémoires.
Alors, on mettra toute la voile pour voguer en eaux douces de la Canebière aux bords de Marne, chaloupant valses, javas, tangos et pasos, larguant les amarres aux premières notes du piano ou aux souffles langoureux d'un accordéon triste. Marins d'eau douce enhardis de souvenirs, on entonnera en choeur – probablement sans vraiment s'en apercevoir - les refrains empreints de nostalgie de rengaines amoureuses ou ceux pétillants de malice et d'humour de chansons réalistes qui brossent en trois mots, cinq notes des portraits plus vrais que nature. Succulentes chansons marseillaises à la Scotto, éternels standards du musette, avant de terminer avec les rythmiques latinos des grands orchestres d'après-guerre.
Sous les lampions, autour de la piste à danser, un coin de bar où se désaltérer, des tables de restaurant pour grignoter avec les commerçants de la rue.
Avec Daniel (batterie), Jean (guitare et chant),
Roland (claviers, accordéon), Stéphane (basse)
et Hervé en invité surprise (chant)
Canebière sur Marne
Esprit guinguette et rétro au programme d'ouverture de Convivència, qu'un 14 juillet inspire, un brin désuet, mais plein d'une immense tendresse. L'occasion de renouer avec ce petit bal populaire de nos (grands-)parents à la lueur des lampions, sous la pergola et de (re)découvrir les airs qui sont restés marqués dans toutes les mémoires.
Alors, on mettra toute la voile pour voguer en eaux douces de la Canebière aux bords de Marne, chaloupant valses, javas, tangos et pasos, larguant les amarres aux premières notes du piano ou aux souffles langoureux d'un accordéon triste. Marins d'eau douce enhardis de souvenirs, on entonnera en choeur – probablement sans vraiment s'en apercevoir - les refrains empreints de nostalgie de rengaines amoureuses ou ceux pétillants de malice et d'humour de chansons réalistes qui brossent en trois mots, cinq notes des portraits plus vrais que nature. Succulentes chansons marseillaises à la Scotto, éternels standards du musette, avant de terminer avec les rythmiques latinos des grands orchestres d'après-guerre.
Sous les lampions, autour de la piste à danser, un coin de bar où se désaltérer, des tables de restaurant pour grignoter avec les commerçants de la rue.
Avec Daniel (batterie), Jean (guitare et chant),
Roland (claviers, accordéon), Stéphane (basse)
et Hervé en invité surprise (chant)