Alecos Fassianos © DR
Les Dieux de la Grèce de surcroît, lui ont donné une mémoire double. Tout d'abord celle du mouvement perpétuel. Il n'est pas une seule de ses oeuvres sans un nuage de fumée, sans l'oscillation d'une mèche de cheveux, le glissement d'un voile, d'une écharpe.
Sur le devant de la scène se tient le personnage. Derrière lui une fenêtre. Elle ouvre sur la nature, sur la mer, la plage, le ciel. Les objets sont présents à la fois pour leur aspect formel et intemporel. Ainsi la pomme, le vase…
Le vélo quant à lui est un procédé visuel pour donner un mouvement circulaire aux compositions plus que comme un thème à part entière. Il est davantage le signe d’un rapport au temps et à l’intemporalité des situations que comme un moyen de locomotion.
Cependant cette juxtaposition entre des mises en situation de personnages dans des postures qui sont des réminiscences directes aux mythes antiques et des objets du quotidien d’aujourd’hui créent une déstabilisation.
Ses personnages sont les protagonistes d'un récit légendaire qui raconte le perpétuel recommencement.
Quelques accessoires suffisent pour que la contemporanéité rejoigne l'antiquité.
L’exposition a Sorèze présente 24 lithographies et trois sérigraphies. Elle est ponctuée également d’oeuvres de Gudrun Von Leitner, sa muse .
Sur le devant de la scène se tient le personnage. Derrière lui une fenêtre. Elle ouvre sur la nature, sur la mer, la plage, le ciel. Les objets sont présents à la fois pour leur aspect formel et intemporel. Ainsi la pomme, le vase…
Le vélo quant à lui est un procédé visuel pour donner un mouvement circulaire aux compositions plus que comme un thème à part entière. Il est davantage le signe d’un rapport au temps et à l’intemporalité des situations que comme un moyen de locomotion.
Cependant cette juxtaposition entre des mises en situation de personnages dans des postures qui sont des réminiscences directes aux mythes antiques et des objets du quotidien d’aujourd’hui créent une déstabilisation.
Ses personnages sont les protagonistes d'un récit légendaire qui raconte le perpétuel recommencement.
Quelques accessoires suffisent pour que la contemporanéité rejoigne l'antiquité.
L’exposition a Sorèze présente 24 lithographies et trois sérigraphies. Elle est ponctuée également d’oeuvres de Gudrun Von Leitner, sa muse .
Pratique
Abbaye-école
Rue St Martin
81540 SOREZE
05 63 50 86 38
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05 63 50 86 38