
Très Inspirée par New-York qu’elle considère à la croisée de l’esthétique urbaine moderne / traditionnelle,
et très énergisée par un voyage sur l’ancienne terre amérindienne, Louise Cara s’est emparée de la
dimension symbolique verticale du totem et horizontale d’un tracé initiatique pour construire une oeuvre
à la fois transversale et métaphorique, en deux volets : « Totems City » et « Villes Labyrinthe », passerelles
entre l’hier et l’aujourd’hui, le moderne et l’archaïque, les cultures d’orient et d’occident ( plus de 200
oeuvres sur toiles, papiers, grands livres, carnets et totems ).
Une représentation graphique de la ville au travers d’une trentaine de toiles grand format peintes à
l’encre, aux pigments/acrylique et à l’huile, ville vue de face puis vue d’en haut dans son extrême
modernité et dans son évocation ancienne - l’installant ainsi dans un hors temps et un visible universel
proche des premières écritures.
La scénographie de Dominique Gros et la mise en lumière de Karim Houari imposeront une vision dans
l’espace, une mise en perspective de l’oeuvre, recomposée dans le regard de la réalisatrice comme une
immense installation jouant sur le mouvement et le changement de point de vue, notions clés de l’oeuvre.
Au Grenier à sel, l’oeuvre dialoguera en résonnance, comme toujours chez Louise Cara, avec d’autres
artistes : Nicole Barrière, poète - Muriel Bloch, conteuse - Idriss et Henri Agnel, musiciens. Ils répondront
par des textes et des compositions musicales créés pour Totems City.
Plus largement, l’événement s’inscrira dans la ville. et plus particulièrement dans la dynamique créatrive
générée par le Festival d’Avignon. Il multipliera les échanges et les ponts lancés en direction de la
ville-culture, de ses habitants, au fil de rencontres, d’ateliers, de conférences, de temps d’échanges.
Il cristallisera dans les deux grandes salles du Grenier à Sel, lieu historique d’Avignon réinterprété dans
un esprit contemporain par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, un événement pluriel où s’inviteront aussi
la poésie, la musique, l’architecture, l’histoire.
Ce faisant, il ramènera en ce lieu l’art contemporain. Une vocation qui sommeillait depuis la dernière
grande exposition Gaston Chaissac en 2003.
et très énergisée par un voyage sur l’ancienne terre amérindienne, Louise Cara s’est emparée de la
dimension symbolique verticale du totem et horizontale d’un tracé initiatique pour construire une oeuvre
à la fois transversale et métaphorique, en deux volets : « Totems City » et « Villes Labyrinthe », passerelles
entre l’hier et l’aujourd’hui, le moderne et l’archaïque, les cultures d’orient et d’occident ( plus de 200
oeuvres sur toiles, papiers, grands livres, carnets et totems ).
Une représentation graphique de la ville au travers d’une trentaine de toiles grand format peintes à
l’encre, aux pigments/acrylique et à l’huile, ville vue de face puis vue d’en haut dans son extrême
modernité et dans son évocation ancienne - l’installant ainsi dans un hors temps et un visible universel
proche des premières écritures.
La scénographie de Dominique Gros et la mise en lumière de Karim Houari imposeront une vision dans
l’espace, une mise en perspective de l’oeuvre, recomposée dans le regard de la réalisatrice comme une
immense installation jouant sur le mouvement et le changement de point de vue, notions clés de l’oeuvre.
Au Grenier à sel, l’oeuvre dialoguera en résonnance, comme toujours chez Louise Cara, avec d’autres
artistes : Nicole Barrière, poète - Muriel Bloch, conteuse - Idriss et Henri Agnel, musiciens. Ils répondront
par des textes et des compositions musicales créés pour Totems City.
Plus largement, l’événement s’inscrira dans la ville. et plus particulièrement dans la dynamique créatrive
générée par le Festival d’Avignon. Il multipliera les échanges et les ponts lancés en direction de la
ville-culture, de ses habitants, au fil de rencontres, d’ateliers, de conférences, de temps d’échanges.
Il cristallisera dans les deux grandes salles du Grenier à Sel, lieu historique d’Avignon réinterprété dans
un esprit contemporain par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, un événement pluriel où s’inviteront aussi
la poésie, la musique, l’architecture, l’histoire.
Ce faisant, il ramènera en ce lieu l’art contemporain. Une vocation qui sommeillait depuis la dernière
grande exposition Gaston Chaissac en 2003.