L’Orfeo de Monteverdi. Dans le cadre du festival d’Ambronay - 3 et 4 octobre
Pour sa 20e édition, l’Académie baroque européenne d’Ambronay retourne aux sources de l’opéra.
L’Orfeo, fable en musique écrite par Claudio Monteverdi en 1607, est souvent considéré comme le premier véritable opéra de l’histoire dont le livret est directement inspiré des Métamorphoses d’Ovide. La richesse de l’orchestration, la virtuosité des pages chorales, la caractérisation des différents rôles font de cette œuvre le terrain de jeu idéal pour ces talents émergents.
Chef en résidence au Centre culturel de rencontre d’Ambronay depuis 2010, Leonardo García Alarcón partagera ici la fraîcheur de son interprétation et la fougue de sa direction avec la soixantaine de jeunes instrumentistes et chanteurs sélectionnés avec le plus grand soin.
Compagnon du Théâtre de Bourg-en-Bresse, Laurent Brethome, directeur artistique de la compagnie Le menteur volontaire, en sera le metteur en scène. Homme de théâtre réputé, il a notamment obtenu en 2010 le prix du public du Festival Impatience pour sa mise en scène des Souffrances de Job d’Hanokh Levin au Théâtre de l’Odéon.
L’Orfeo, fable en musique écrite par Claudio Monteverdi en 1607, est souvent considéré comme le premier véritable opéra de l’histoire dont le livret est directement inspiré des Métamorphoses d’Ovide. La richesse de l’orchestration, la virtuosité des pages chorales, la caractérisation des différents rôles font de cette œuvre le terrain de jeu idéal pour ces talents émergents.
Chef en résidence au Centre culturel de rencontre d’Ambronay depuis 2010, Leonardo García Alarcón partagera ici la fraîcheur de son interprétation et la fougue de sa direction avec la soixantaine de jeunes instrumentistes et chanteurs sélectionnés avec le plus grand soin.
Compagnon du Théâtre de Bourg-en-Bresse, Laurent Brethome, directeur artistique de la compagnie Le menteur volontaire, en sera le metteur en scène. Homme de théâtre réputé, il a notamment obtenu en 2010 le prix du public du Festival Impatience pour sa mise en scène des Souffrances de Job d’Hanokh Levin au Théâtre de l’Odéon.
Pierre Richard III, avec Pierre Richard. 15 et 16 octobre
Autour d’extraits de films projetés, rejoués, commentés, détournés, Pierre Richard joue l’équilibriste et nous livre sa vie d’artiste et ses pensées d’homme.
C’est lui… le grand blond avec une chaussure noire…
Éternel distrait, faux maladroit, tendre pitre…
Et non, il ne joue pas Shakespeare, mais son troisième solo dans lequel ce roi de l’absurde à la française nous livre sa vie d’artiste et ses pensées d’homme. Autour d’extraits de films projetés, rejoués, commentés, détournés, Pierre Richard joue l’équilibriste et danse entre les images du passé, peuplées de camarades illustres : Carmet, Depardieu, Yves Robert, Mireille Darc, Gérard Oury, Francis Veber… Il évoque La Chèvre, Le Grand Blond, Les Malheurs d’Alfred, Les Fugitifs, Alexandre le bienheureux, Le coup du parapluie, Le Distrait… Il raconte les rencontres, les accidents, les rêveries, les cauchemars. A soixante-dix-huit ans, Pierre Richard est un funambule, entre fantaisie pure et vérité dévoilée, entre rires et émotions.
C’est lui… le grand blond avec une chaussure noire…
Éternel distrait, faux maladroit, tendre pitre…
Et non, il ne joue pas Shakespeare, mais son troisième solo dans lequel ce roi de l’absurde à la française nous livre sa vie d’artiste et ses pensées d’homme. Autour d’extraits de films projetés, rejoués, commentés, détournés, Pierre Richard joue l’équilibriste et danse entre les images du passé, peuplées de camarades illustres : Carmet, Depardieu, Yves Robert, Mireille Darc, Gérard Oury, Francis Veber… Il évoque La Chèvre, Le Grand Blond, Les Malheurs d’Alfred, Les Fugitifs, Alexandre le bienheureux, Le coup du parapluie, Le Distrait… Il raconte les rencontres, les accidents, les rêveries, les cauchemars. A soixante-dix-huit ans, Pierre Richard est un funambule, entre fantaisie pure et vérité dévoilée, entre rires et émotions.
30 Alicia Kozameh / Sylvie Mongin-Algan. 22 octobre
Trente femmes détenues dans le sous-sol d’une Préfecture de Police. Trente femmes emprisonnées sous une dictature. Trente femmes qui résistent, échangent et rient aussi. Un texte d’Alicia Kozameh vivant, terrible et dense, témoignage de son expérience de prisonnière politique.
Trente femmes détenues dans le sous-sol d’une Préfecture de Police. Trente femmes emprisonnées sous une dictature. Trente femmes qui résistent et ne se laissent pas enfermer malgré tout : elles échangent, pensent, protestent, montent une pièce de théâtre et rient aussi.
Vivant, terrible et dense, le texte d’Alicia Kozameh est écrit comme un conte, mais témoigne d’une expérience éprouvée par l’auteure, prisonnière politique dans les années 70 en Argentine.
L’humour est souvent un mécanisme de défense qui émerge dans des situations extrêmes comme celle-ci, de sorte que oui, il y avait du rire. La joie que nous éprouvions parfois était la joie de savoir que nous étions là pour un motif, pour impulser une cause qui en valait la peine. Peu importait que nous ayons peur, que nous ayons faim, qu’on nous maltraite, notre esprit humain n’était pas anéanti et cela nous donnait une sensation de pouvoir, même en pareilles circonstances.
Extrait de « Conversation avec Alicia Kozameh » par Gwendolyn Díaz
Trente femmes détenues dans le sous-sol d’une Préfecture de Police. Trente femmes emprisonnées sous une dictature. Trente femmes qui résistent et ne se laissent pas enfermer malgré tout : elles échangent, pensent, protestent, montent une pièce de théâtre et rient aussi.
Vivant, terrible et dense, le texte d’Alicia Kozameh est écrit comme un conte, mais témoigne d’une expérience éprouvée par l’auteure, prisonnière politique dans les années 70 en Argentine.
L’humour est souvent un mécanisme de défense qui émerge dans des situations extrêmes comme celle-ci, de sorte que oui, il y avait du rire. La joie que nous éprouvions parfois était la joie de savoir que nous étions là pour un motif, pour impulser une cause qui en valait la peine. Peu importait que nous ayons peur, que nous ayons faim, qu’on nous maltraite, notre esprit humain n’était pas anéanti et cela nous donnait une sensation de pouvoir, même en pareilles circonstances.
Extrait de « Conversation avec Alicia Kozameh » par Gwendolyn Díaz
Pratique
Théâtre de Bourg-en-Bresse
11 Place de la Grenette
BP 146
01004 Bourg-en-Bresse cedex
04 74 50 40 00
www.theatre-bourg.com
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01004 Bourg-en-Bresse cedex
04 74 50 40 00
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