L’exposition bénéficiant de prêts exceptionnels de la part de la National Gallery (Londres), du Prado (Madrid), du Louvre (Paris) et de plusieurs collections particulières, ce sont parmi les meilleures œuvres de Frans Hals qui seront ainsi présentées aux côtés de Titien (« Enfant avec des chiens », Musée Boijmans Van Beuningen, Rotterdam), de Rembrandt (« Le Rieur », Koninklijk Kabinet van Schilderijen Mauritshuis, La Haye, « Portrait de Jacob Trip et Portrait de Margaretha de Geer », The National Gallery, Londres), de Van Dyck (« Portrait d’un homme de cinquante-cinq ans », Collection du prince de Lichtenstein, Vaduz-Wenen et « Francois Langlois », The Barber Institute of Fine Arts, Birmingham), de Jordaens (« Autoportrait en joueur de cornemuse », coll. Fondation Roi Baudoin, Rubenshuis, Anvers), ou de Rubens («Portrait de Jan Vermoelen », Collection du prince de Lichtenstein, Vaduz-Wenen). L’exposition a pour commissaire, Anna Tummers, conservatrice au Musée Frans Hals.
Accrochés côte à côte, ces tableaux permettront d’opérer des comparaisons entre œuvres similaires et de mieux comprendre les inspirations mutuelles et les émulations en jeu. Ainsi le visiteur de l'exposition sera-t-il en mesure de mieux appréhender les défis artistiques qui se posaient à Frans Hals, et, en définitive, ce qui le rendit si unique. Une telle confrontation entre grands maîtres contemporains, ou du siècle précédent, s’avère essentielle pour comprendre les enjeux de la peinture au 17ème siècle. Bien souvent, en effet, chacun de ces artistes suivait de près le travail de ses confrères, souvent soucieux de s'en distinguer et d'afficher sa propre originalité en vue de l'emporter sur le terrain de la création artistique.
Accrochés côte à côte, ces tableaux permettront d’opérer des comparaisons entre œuvres similaires et de mieux comprendre les inspirations mutuelles et les émulations en jeu. Ainsi le visiteur de l'exposition sera-t-il en mesure de mieux appréhender les défis artistiques qui se posaient à Frans Hals, et, en définitive, ce qui le rendit si unique. Une telle confrontation entre grands maîtres contemporains, ou du siècle précédent, s’avère essentielle pour comprendre les enjeux de la peinture au 17ème siècle. Bien souvent, en effet, chacun de ces artistes suivait de près le travail de ses confrères, souvent soucieux de s'en distinguer et d'afficher sa propre originalité en vue de l'emporter sur le terrain de la création artistique.