MONIQUE FRYDMAN Révélé 3, 2000 Pastels secs, pigments et liant sur toile de lin ; 192 x 155 cm
Il est des œuvres qui naissent du silence du monde, de cette respiration lente qui unit le souffle humain aux pulsations de la nature.
« L’Empreinte du Vivant » rassemble des artistes dont le geste s’inscrit dans cette tension féconde entre matière et mémoire, entre présence humaine et forces telluriques.
L’exposition explore le rapport intime entre l’homme et le vivant — non pas dans une opposition, mais dans une continuité sensible. Comme le paysan façonne la terre, comme l’artisan travaille la pierre ou le bois, l’artiste ici capte l’essence du vivant, en révèle les formes, les rythmes, les vibrations. Ce qu’il en reste n’est jamais simple trace : c’est une empreinte, un acte, une résonance.
Chaque œuvre devient ainsi le lieu d’une cohabitation — entre l’inerte et le mouvant, entre le naturel et le façonné. Matières premières, éléments bruts, textures organiques, fluidité des formes : tout dans ce parcours invite à ressentir ce qui palpite, persiste, se transmet.
Chaque artiste, par son langage propre, interroge cette relation au monde vivant — non comme une ressource à exploiter, mais comme un territoire à écouter, à comprendre, à habiter.
Ces œuvres ne représentent pas la nature : elles en procèdent. Elles portent le fruit du geste, de l’intuition, de l’attention. Comme une feuille garde l’empreinte du vent, ou une roche celle du temps, l’art ici conserve et transforme, dans une poétique du lien.
« L’Empreinte du Vivant » est une invitation à ralentir, à regarder autrement, à renouer avec la part profonde de ce qui nous relie à ce monde que, souvent, nous oublions d’habiter.
« L’Empreinte du Vivant » rassemble des artistes dont le geste s’inscrit dans cette tension féconde entre matière et mémoire, entre présence humaine et forces telluriques.
L’exposition explore le rapport intime entre l’homme et le vivant — non pas dans une opposition, mais dans une continuité sensible. Comme le paysan façonne la terre, comme l’artisan travaille la pierre ou le bois, l’artiste ici capte l’essence du vivant, en révèle les formes, les rythmes, les vibrations. Ce qu’il en reste n’est jamais simple trace : c’est une empreinte, un acte, une résonance.
Chaque œuvre devient ainsi le lieu d’une cohabitation — entre l’inerte et le mouvant, entre le naturel et le façonné. Matières premières, éléments bruts, textures organiques, fluidité des formes : tout dans ce parcours invite à ressentir ce qui palpite, persiste, se transmet.
Chaque artiste, par son langage propre, interroge cette relation au monde vivant — non comme une ressource à exploiter, mais comme un territoire à écouter, à comprendre, à habiter.
Ces œuvres ne représentent pas la nature : elles en procèdent. Elles portent le fruit du geste, de l’intuition, de l’attention. Comme une feuille garde l’empreinte du vent, ou une roche celle du temps, l’art ici conserve et transforme, dans une poétique du lien.
« L’Empreinte du Vivant » est une invitation à ralentir, à regarder autrement, à renouer avec la part profonde de ce qui nous relie à ce monde que, souvent, nous oublions d’habiter.
Info+
Vernissage – L'empreinte du vivant le samedi 2 août 2025 à 18h30
Bogéna Galerie
777 route de la Colle
06570 Saint Paul de Vence
+33 (0)4 93 32 53 60
+33 (0)6 26 06 61 53
www.bogena-galerie.com
bogena@bogena-galerie.com
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