Il flotte dans l’univers de Corinne Sanmarcelli un délicieux parfum de nostalgie, celui de l’enfance et de ses rêveries infinies, lorsque la frontière entre le réel et l’imaginaire se brouille. Ses œuvres semblent issues d’un temps suspen-du, hors du monde, où les objets du quotidien s’animent et se métamorphosent, où les chaises naviguent, où les mai-sons roulent et où les créatures mythiques prennent chair.
L’artiste puise dans la mémoire de l’enfance, celle des longues heures passées à lire, lové dans un fauteuil familier, des récits fabuleux peuplés d’animaux de toutes sortes, de créatures étranges et de mondes lointains. Ses petites maisons et ses chaises expressives rappellent les univers miniatures des maisons de poupées. À la rigueur monacale de certaines répond la sensualité des courbes XVIIIe : autant de personnalités distinctes, dotées d’une âme propre. Dans ce monde familier surgit le fantastique, comme dans un rêve où tout devient possible.
L’œuvre de Corinne Sanmarcelli se découvre comme on feuillette un livre de contes illustré. On y croise Peau d’Âne, la poule aux œufs d’or, un dragon, une sirène ou un homme à tête de cerf. Baroque par son goût de la mythologie, du fabuleux et de la transformation, son esthétique du mouvement et de l’ornement, son travail se nourrit tout autant de minimalisme : formes simples, lignes nettes, constructions précises et délicates.
            L’artiste puise dans la mémoire de l’enfance, celle des longues heures passées à lire, lové dans un fauteuil familier, des récits fabuleux peuplés d’animaux de toutes sortes, de créatures étranges et de mondes lointains. Ses petites maisons et ses chaises expressives rappellent les univers miniatures des maisons de poupées. À la rigueur monacale de certaines répond la sensualité des courbes XVIIIe : autant de personnalités distinctes, dotées d’une âme propre. Dans ce monde familier surgit le fantastique, comme dans un rêve où tout devient possible.
L’œuvre de Corinne Sanmarcelli se découvre comme on feuillette un livre de contes illustré. On y croise Peau d’Âne, la poule aux œufs d’or, un dragon, une sirène ou un homme à tête de cerf. Baroque par son goût de la mythologie, du fabuleux et de la transformation, son esthétique du mouvement et de l’ornement, son travail se nourrit tout autant de minimalisme : formes simples, lignes nettes, constructions précises et délicates.
                            Chaussures, Circa 2000, Bronze. Fonderie Arte 6, Madrid, n°1/3, 20 x 36 x 21 cm.                    
    
        
    Info+
                     Galerie Valois
41, rue de Seine
75006 Paris
T : +33 (0)1 43 29 50 80
vallois41@vallois.com
www.galerierobertvallois.com
@camillebloc_art
Dates : 6 au 9 novembre 2025
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