L’exposition réunit cinq séries d’art-objets créées à différentes époques : moulages en bronze polis comme des miroirs, chemises cartonnées des années 1930, énigmatiques pages blanches, bustes en bronze noircis de Marx, Lénine, Mao ou Staline, et une installation monumentale : un mur de tranches de pain noir en relief, spécialement conçues pour ce projet.
Ordonnés avec rigueur, ces objets révèlent le contraste entre un emballage séduisant et un contenu empoisonné. Osmolovsky y exprime les tensions spirituelles et politiques contemporaines : du démocratisme post-communiste hypocrite au virage radical actuel, dominé non par l’humanisme, mais par le culte du chef, de la force et des « valeurs traditionnelles » instrumentalisées par de nouveaux régimes répressifs.
Anatoly Osmolovsky a participé à la Documenta 12, ainsi qu’à la Biennale de Venise en 1993 et en 2003.
Les pièces exposées relèvent de son œuvre des années 2010–2020.
Un catalogue bilingue anglais-français est publié à l’occasion de l’exposition.
Commissaire de l’exposition : Andrei Erofeev
Ordonnés avec rigueur, ces objets révèlent le contraste entre un emballage séduisant et un contenu empoisonné. Osmolovsky y exprime les tensions spirituelles et politiques contemporaines : du démocratisme post-communiste hypocrite au virage radical actuel, dominé non par l’humanisme, mais par le culte du chef, de la force et des « valeurs traditionnelles » instrumentalisées par de nouveaux régimes répressifs.
Anatoly Osmolovsky a participé à la Documenta 12, ainsi qu’à la Biennale de Venise en 1993 et en 2003.
Les pièces exposées relèvent de son œuvre des années 2010–2020.
Un catalogue bilingue anglais-français est publié à l’occasion de l’exposition.
Commissaire de l’exposition : Andrei Erofeev