
Le Futuréalisme est la mise en scène tangible d’un futur et d’un imaginaire possible. C’est mu par cette idée qu’Electronic Shadow (Naziha Mestaoui et Yacine Aït Kaci) multiplie depuis 10 ans installations, prototypes et applications, oscillant entre réalité et fiction, élaborant des scénarios pour les nouvelles sociétés du XXIe siècle, de l’échelle la plus grande et potentiellement infinie, le monde-reseau, à l’échelle la plus proche et familière, l’habitat. En faisant fusionner l’espace, l’image et le réseau, Es construit ce qu’ils appellent des réalités hybrides, mi réelles, mi virtuelles dont le corps est l’interface et l’environnement un élément en perpétuelle métamorphose, vivant, vibrant et poétique.
Naziha Mestaoui et Yacine Aït Kaci, réalisateurs multimédia
En 2000 ils créent « Electronic Shadow» et inventent leur propre métier, transdisciplinaire et convergent, dont le territoire de l’art est à la fois le laboratoire et un déclencheur permanent de possibles. C’est ainsi que dans un rythme frénétique, ils enchainent expositions, projets architecturaux, innovations et même spectacles avec une approche et une signature reconnaissable entre toutes.
En croisant l’espace, l’image et les innovations du monde numérique, ils créent une discipline, hybride, qui s’intègre à un monde contemporain de moins en moins enfermé dans ses cases. Le couple sème son parcours d’une multitude d’expositions à travers le monde : MOMA à New York, Centre Georges Pompidou à Paris, Musée de la photographie à Tokyo, Biennale d’Art Contemporain à Séville, SESI de Sao Paulo, MOCA de Shanghai….
En croisant l’espace, l’image et les innovations du monde numérique, ils créent une discipline, hybride, qui s’intègre à un monde contemporain de moins en moins enfermé dans ses cases. Le couple sème son parcours d’une multitude d’expositions à travers le monde : MOMA à New York, Centre Georges Pompidou à Paris, Musée de la photographie à Tokyo, Biennale d’Art Contemporain à Séville, SESI de Sao Paulo, MOCA de Shanghai….