19 septembre 09, festival des Alpilles, Baux Brésil avec Monica Passos, Cathédrale d’Images des Baux de Provence

Le concert de la diva brésilienne MONICA PASSOS aux Baux-de-provence constitue l’un des grands événements musicaux du sud de la France, tant le talent de cette grande artiste est demandé de partout.
Tornade ou Vamp fellinienne. La presse n’a de mot pour décrire la phénoménale Mônica Passos :


LE MONDE : « MONICA PASSOS est chanteuse, rythmicienne, danseuse, siffleuse, diva.
Elle relève du phénomène naturel anormal. Sa générosité de corps, ses petits cris et ses grimaces rehaussent comme un diamant ce naturel qui excède sa nature : le sens animal du public, de la scène et du don. La spontanéité écrite dans le ciel. »

JAZZ MAGAZINE : « C’est tout simplement une des plus belles voix d’aujourd’hui.»

JOURNAL DU DIMANCHE : Lucide, généreuse, elle porte son Brésil comme une flamme, le chante comme un cri, le murmure comme un sortilège ? Totalement inclassable, son tour de chant est une surprise permanente, un plaisir d’humour et de musique. »

LIBÉRATION : « Passant du grave au facétieux sans transition, retournant nos émotions d’un revers de registre dans des enchaînements surréalistes fulgurants. »

ELLE : « Elle possède l’insolence exubérante et provocante des vamps felliniennes mais, derrière cette façade haute en couleur se dissimule une chanteuse aux étonnantes possibilités vocales. Brésilienne, Mônica Passos se nourrit depuis son enfance de toutes les musiques qui font chanter les rues de son Sao Paulo natal. D’une curiosité artistique sans limites, elle trouve dans le mouvement de la world music les épices nouvelles qui pimentent sa musique et font qu’elle ne ressemble à aucune autre. »

LE FIGARO : « Vamp ou mutine, insolente ou tragique, les qualifiants ne manquent pas pour décrire Mônica Passos, cette brésilienne qui semble sortir tout droit d’un film de Fellini. Côté vocal, son registre tout à fait étonnant lui permet de sombrer dans le blues le plus déchirant, de swinguer sur des rythmes de bossa nova ou même de reproduire tous les bruits de la forêt tropicale. Un véritable ouragan qui entraîne dans son sillage toute la folie du Brésil. »

festival@alpilles.fr
Mis en ligne le Mardi 10 Mars 2009 à 00:00 | Lu 727 fois
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