Les Galets de la mer, d’après l’œuvre de Louise Ackermann, Théâtre de l’Ile Saint-Louis Paul Rey, Paris, du 23 au 28 février 2016 à 21h
Adapté et mis en scène par Caroline Rainette
Louise Ackermann (1813-1890) écrivit quelques-uns des plus beaux vers du 19e siècle, attirant l’attention de Victor Hugo, l’admiration de Tolstoï. Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s’attirer les foudres des moralistes. Un « monstre » dira d’elle Barbey d’Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec pour dédicace « à la grande diabolique, les petites ».
La puissance des écrits de Louise Ackermann, scrutant la réalité intérieure de l’homme, son rapport au monde, à la mort, à la nature, résonnent aujourd’hui avec une modernité toute singulière et bouleversante.
Les Galets de la mer mêle en douceur poésie et prose, un véritable parcours à travers la vie et l’œuvre de la poétesse. Entre doutes et contradictions, joies et peines, Louise y dévoile une personnalité touchante. Sa pensée, sa vision du monde, ses doutes et ses espoirs restent intemporels et parlent à tous. Un hommage à une femme moderne, libre, qui choisit sa vie, accepta et revendiqua sa condition d’artiste.
En symbiose avec la comédienne, le piano met en relief la musicalité des mots, les courbes des sonorités, sur des œuvres de Clara Schumann, Louise Farrenc ou encore Mel Bonis.
Avec Caroline Rainette, Astrid Marc au piano
Louise Ackermann (1813-1890) écrivit quelques-uns des plus beaux vers du 19e siècle, attirant l’attention de Victor Hugo, l’admiration de Tolstoï. Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne pouvait que s’attirer les foudres des moralistes. Un « monstre » dira d’elle Barbey d’Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses Diaboliques avec pour dédicace « à la grande diabolique, les petites ».
La puissance des écrits de Louise Ackermann, scrutant la réalité intérieure de l’homme, son rapport au monde, à la mort, à la nature, résonnent aujourd’hui avec une modernité toute singulière et bouleversante.
Les Galets de la mer mêle en douceur poésie et prose, un véritable parcours à travers la vie et l’œuvre de la poétesse. Entre doutes et contradictions, joies et peines, Louise y dévoile une personnalité touchante. Sa pensée, sa vision du monde, ses doutes et ses espoirs restent intemporels et parlent à tous. Un hommage à une femme moderne, libre, qui choisit sa vie, accepta et revendiqua sa condition d’artiste.
En symbiose avec la comédienne, le piano met en relief la musicalité des mots, les courbes des sonorités, sur des œuvres de Clara Schumann, Louise Farrenc ou encore Mel Bonis.
Avec Caroline Rainette, Astrid Marc au piano
Pratique
Théâtre de l’Ile Saint-Louis Paul Rey
39 Quai d'Anjou
75004 Paris
23 au 28 février 2016 à 21h / dimanche à 17h30
À partir du 26 avril tous les mardis à 21h
Réservation : 01 46 33 48 65 ou www.billetreduc.com/154246/evt.htm
39 Quai d'Anjou
75004 Paris
23 au 28 février 2016 à 21h / dimanche à 17h30
À partir du 26 avril tous les mardis à 21h
Réservation : 01 46 33 48 65 ou www.billetreduc.com/154246/evt.htm
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