Le Centre de découverte – Insertions paysagères provisoires. © Agences Fabre@Speller - Atelier 3A
Sur les hauteurs de Vallon-Pont-d’Arc, le site du Razal, un espace boisé de 29 hectares, a été retenu pour la construction de l’Espace de restitution. Lauréate du concours lancé en 2008, l’équipe d'architectes Fabre/Speller (Xavier Fabre et Vincent Speller – Clermont Ferrand) et Atelier 3A (Albert Ollier – Le Teil), associée à l’agence Scène (Jean-Hugues Manoury – Paris) pour la scénographie, réalisent cette réplique.
L’espace de restitution s’organise sur un ensemble de 5 bâtiments disséminés dans des espaces naturels et paysagers. Les architectes ont opté pour une structure éclatée afin de rendre autonomes et distinctes des constructions par ailleurs fortement insérées à la topographie du site, l’intégration paysagère constituant une attention prioritaire de ce projet. Implantés au ras du sol et le plus discrètement possible, les différentes entités qui forment l’espace de restitution donneront l’impression de murs qui surgissent de terre. Guidé par une démarche de haute qualité environnementale, le projet est particulièrement exigeant sur le choix des modes constructifs et des matériaux, sur le respect des territoires alentour, la préservation du paysage et de l’environnement, dans le cadre d’une fréquentation importante estimée à 300 000 à 400 000 visiteurs annuels.
Cette réalisation est soutenue par un investissement de 50 millions d’euros, réparti entre les partenaires – la Région Rhône-Alpes, le Département de l’Ardèche, l’Etat français et l’Europe - et le futur gestionnaire – Kléber Rossillon -
L’espace de restitution s’organise sur un ensemble de 5 bâtiments disséminés dans des espaces naturels et paysagers. Les architectes ont opté pour une structure éclatée afin de rendre autonomes et distinctes des constructions par ailleurs fortement insérées à la topographie du site, l’intégration paysagère constituant une attention prioritaire de ce projet. Implantés au ras du sol et le plus discrètement possible, les différentes entités qui forment l’espace de restitution donneront l’impression de murs qui surgissent de terre. Guidé par une démarche de haute qualité environnementale, le projet est particulièrement exigeant sur le choix des modes constructifs et des matériaux, sur le respect des territoires alentour, la préservation du paysage et de l’environnement, dans le cadre d’une fréquentation importante estimée à 300 000 à 400 000 visiteurs annuels.
Cette réalisation est soutenue par un investissement de 50 millions d’euros, réparti entre les partenaires – la Région Rhône-Alpes, le Département de l’Ardèche, l’Etat français et l’Europe - et le futur gestionnaire – Kléber Rossillon -